Les amendements de Bruno Retailleau pour ce dossier

108 interventions trouvées.

Madame la Première ministre, rien de ce qui est inhumain ne doit nous être étranger. Aujourd’hui, nous nous sentons tous Israéliens ; nous nous sentons aussi tous Arméniens. Ces deux peuples sont liés par leur destinée tragique, en particulier par deux génocides. Dans le Caucase du Sud, les plans du satrape de Bakou ont réussi sans rencontrer ...

Madame la Première ministre, rien de ce qui est inhumain ne doit nous être étranger. Aujourd’hui, nous nous sentons tous Israéliens ; nous nous sentons aussi tous Arméniens. Ces deux peuples sont liés par leur destinée tragique, en particulier par deux génocides. Dans le Caucase du Sud, les plans du satrape de Bakou ont réussi sans rencontrer ...

M. Bruno Retailleau. … que Mme von der Leyen a signé en dépit des sanctions prononcées, puisque l’on sait que le gaz dont dispose l’agresseur vient pour partie de Moscou ?

M. Bruno Retailleau. … que Mme von der Leyen a signé en dépit des sanctions prononcées, puisque l’on sait que le gaz dont dispose l’agresseur vient pour partie de Moscou ?

Madame la Première ministre, cessez de mettre sur le même plan le bourreau et la victime, l’Azerbaïdjan et l’Arménie ! Le 21 février prochain, le Président de la République fera entrer au Panthéon Missak Manouchian. Orphelin du génocide arménien, celui-ci pénétrera dans ce temple de la gloire nationale accompagné du terrible cortège de ses frè...

Madame la Première ministre, cessez de mettre sur le même plan le bourreau et la victime, l’Azerbaïdjan et l’Arménie ! Le 21 février prochain, le Président de la République fera entrer au Panthéon Missak Manouchian. Orphelin du génocide arménien, celui-ci pénétrera dans ce temple de la gloire nationale accompagné du terrible cortège de ses frè...

Madame la Première ministre, vous avez raison, une mort tragique ne peut pas servir de prétexte. Ces nuits de violences et de chaos exigent une double réponse : pour aujourd'hui, que la République serre les rangs ; pour demain, que le Gouvernement ouvre grand les yeux. Il faut serrer les rangs, car, dans la mesure où l'ordre public n'est pas r...

Il faut aussi laisser le Gouvernement et le ministre de l'intérieur travailler, pour rétablir l'ordre républicain en France. Nous sommes d'accord, madame la Première ministre : comme vous, je condamne ces élus de l'extrême gauche qui ont choisi leur camp. Ce camp est celui non pas celui de la République, mais des émeutiers ! Ce sont des profes...

Madame la Première ministre, vous avez raison, une mort tragique ne peut pas servir de prétexte. Ces nuits de violences et de chaos exigent une double réponse : pour aujourd'hui, que la République serre les rangs ; pour demain, que le Gouvernement ouvre grand les yeux. Il faut serrer les rangs, car, dans la mesure où l'ordre public n'est pas r...

Aussi, madame la Première ministre, je vous adresserai deux questions. Tout d'abord, quelles sont selon vous les causes de ces émeutes ? Ensuite, quels en sont les remèdes, sachant – vous le savez très bien – que la France tranquille n'accepte plus de passer à la caisse pour des minorités qui saccagent leur quartier ?

Il faut aussi laisser le Gouvernement et le ministre de l'intérieur travailler, pour rétablir l'ordre républicain en France. Nous sommes d'accord, madame la Première ministre : comme vous, je condamne ces élus de l'extrême gauche qui ont choisi leur camp. Ce camp est celui non pas de la République, mais des émeutiers ! Ce sont des professionne...

Madame la Première ministre, vous avez raison, une mort tragique ne peut pas servir de prétexte. Ces nuits de violences et de chaos exigent une double réponse : pour aujourd’hui, que la République serre les rangs ; pour demain, que le Gouvernement ouvre grand les yeux. Il faut serrer les rangs, car, dans la mesure où l’ordre public n’est pas r...

Aussi, madame la Première ministre, je vous adresserai deux questions. Tout d'abord, quelles sont selon vous les causes de ces émeutes ? Ensuite, quels en sont les remèdes, sachant – vous le savez très bien – que la France tranquille n'accepte plus de passer à la caisse pour des minorités qui saccagent leur quartier ?

Il faut aussi laisser le Gouvernement et le ministre de l’intérieur travailler, pour rétablir l’ordre républicain en France. Nous sommes d’accord, madame la Première ministre : comme vous, je condamne ces élus de l’extrême gauche qui ont choisi leur camp. Ce camp est celui non pas de la République, mais des émeutiers ! Ce sont des professionne...

Aussi, madame la Première ministre, je vous adresserai deux questions. Tout d’abord, quelles sont selon vous les causes de ces émeutes ? Ensuite, quels en sont les remèdes, sachant – vous le savez très bien – que la France tranquille n’accepte plus de passer à la caisse pour des minorités qui saccagent leur quartier ?

M. Bruno Retailleau . Madame la Première ministre, adoptez la politique du courage. Ayez le courage de traiter les causes, et non leurs seules conséquences par la politique du carnet de chèques. Le cas échéant, nous serons à vos côtés

M. Bruno Retailleau. Madame la Première ministre, le temps nous est compté. Les causes, nous les connaissons, c'est la somme de tous nos renoncements, de tous les laisser-aller : la faillite de l'école ; la faillite de l'autorité parentale, le chaos migratoire, bien sûr

M. Bruno Retailleau . Madame la Première ministre, adoptez la politique du courage. Ayez le courage de traiter les causes, et non leurs seules conséquences par la politique du carnet de chèques. Le cas échéant, nous serons à vos côtés

M. Bruno Retailleau. Madame la Première ministre, le temps nous est compté. Les causes, nous les connaissons, c’est la somme de tous nos renoncements, de tous les laisser-aller : la faillite de l’école ; la faillite de l’autorité parentale, le chaos migratoire, bien sûr

M. Bruno Retailleau. Madame la Première ministre, adoptez la politique du courage. Ayez le courage de traiter les causes, et non leurs seules conséquences par la politique du carnet de chèques. Le cas échéant, nous serons à vos côtés