Les amendements de Alain Milon pour ce dossier

16 interventions trouvées.

a souhaité savoir si des études scientifiques sur l'efficacité de la vaccination contre la grippe sont aujourd'hui envisagées. En effet, le directeur de l'Ecole des hautes études en santé publique, M. Antoine Flahault, a indiqué devant la commission d'enquête que les connaissances scientifiques actuelles sont insuffisantes pour préconiser une v...

a souhaité savoir si des études scientifiques sur l'efficacité de la vaccination contre la grippe sont aujourd'hui envisagées. En effet, le directeur de l'Ecole des hautes études en santé publique, M. Antoine Flahault, a indiqué devant la commission d'enquête que les connaissances scientifiques actuelles sont insuffisantes pour préconiser une v...

Rappelant que dans l'hémisphère nord les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Bruno Lina à la commission, « à la limite de l'intérêt individuel », M. Alain Milon, rapporteur, a demandé si, dans ces conditions, la réponse vaccinale constitue réellement le moyen le plus efficace ...

Rappelant que dans l'hémisphère nord les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Bruno Lina à la commission, « à la limite de l'intérêt individuel », M. Alain Milon, rapporteur, a demandé si, dans ces conditions, la réponse vaccinale constitue réellement le moyen le plus efficace ...

a souhaité savoir si l'on dispose aujourd'hui de données sur le nombre d'individus hospitalisés pour un SDRA qui n'avaient pas été vaccinés.

a souhaité savoir si l'on dispose aujourd'hui de données sur le nombre d'individus hospitalisés pour un SDRA qui n'avaient pas été vaccinés.

a souhaité savoir sur quels fondements reposait l'affirmation du HCSP, dans son avis du 8 juillet 2009, selon laquelle, en dépit des incertitudes sur l'immunogénicité des vaccins contre le virus A(H1N1)v, un schéma vaccinal ne pourrait comporter moins de deux doses.

a souhaité savoir sur quels fondements reposait l'affirmation du HCSP, dans son avis du 8 juillet 2009, selon laquelle, en dépit des incertitudes sur l'immunogénicité des vaccins contre le virus A(H1N1)v, un schéma vaccinal ne pourrait comporter moins de deux doses.

a souhaité savoir quelles conséquences, quant au rôle du HCSP, peuvent être tirées des propos de la ministre de la santé devant la commission selon lesquels ce sont des arguments éthiques et non pas scientifiques qui ont fondé le choix de commander des vaccins pour permettre à tous ceux qui le souhaitaient d'être vaccinés.

a souhaité savoir quelles conséquences, quant au rôle du HCSP, peuvent être tirées des propos de la ministre de la santé devant la commission selon lesquels ce sont des arguments éthiques et non pas scientifiques qui ont fondé le choix de commander des vaccins pour permettre à tous ceux qui le souhaitaient d'être vaccinés.

a fait remarquer que si la France avait, dans un premier temps, calibré ses commandes sur la base d'un schéma vaccinal à une seule injection, comme le préconise M. Jérôme Sclafer, le risque était alors de ne pas disposer au final de doses suffisantes s'il s'était avéré que deux injections étaient nécessaires.

a fait remarquer que si la France avait, dans un premier temps, calibré ses commandes sur la base d'un schéma vaccinal à une seule injection, comme le préconise M. Jérôme Sclafer, le risque était alors de ne pas disposer au final de doses suffisantes s'il s'était avéré que deux injections étaient nécessaires.

Rejoignant M. Alain Milon, rapporteur, il a considéré que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination avait été une erreur, même si, dans le cas du Royaume-Uni, la vaccination par les médecins généralistes n'a pas permis une meilleure couverture vaccinale qu'en France.

Rejoignant M. Alain Milon, rapporteur, il a considéré que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination avait été une erreur, même si, dans le cas du Royaume-Uni, la vaccination par les médecins généralistes n'a pas permis une meilleure couverture vaccinale qu'en France.

a souhaité savoir si la « pensée scientifique unique » privilégiant une vision catastrophiste de la grippe qui a dominé le discours sur la pandémie peut s'expliquer par une sorte d'« auto-restriction » de la liberté d'expression des experts pour lesquels il peut paraître difficile de se désolidariser publiquement de l'opinion exprimée par des c...

a souhaité savoir si la « pensée scientifique unique » privilégiant une vision catastrophiste de la grippe qui a dominé le discours sur la pandémie peut s'expliquer par une sorte d'« auto-restriction » de la liberté d'expression des experts pour lesquels il peut paraître difficile de se désolidariser publiquement de l'opinion exprimée par des c...