à la compréhension des conduites et des passions humaines qu'une immersion dans l'oeuvre des grands écrivains qui s'emploient à cette tâche depuis des millénaires ? Et, du coup : quelle meilleure préparation aux multiples professions ayant trait aux rapports entre hommes, au comportement des individus et des groupes ? Si l'on entend ainsi la littérature et si l'on oriente ainsi son enseignement, quelle aide plus précieuse pourrait trouver le futur étudiant en droit ou en sciences politiques, le futur travailleur social ou intervenant en psychothérapie, le futur historien ou sociologue ? Avoir comme professeurs Shakespeare et Sophocle, Dostoïevski et Proust, n'est-ce pas profiter d'un enseignement exceptionnel ? Et ne voit-on pas qu'un futur médecin, en vue de l'exercice de son métier, aurait plus à apprendre de ces mêmes professeurs que des concours mathématiques qui déterminent aujourd'hui sa destinée ? Les études littéraires trouveraient ainsi leur place au...
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