17 février 2022

Rapport d'information N° 520 (2021-2022)

au nom de la délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation relatif à la démocratie locale
- Pour une nouvelle dynamique démocratique à partir des territoires : la démocratie implicative

écrit par Françoise Gatel rapporteur pour la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales et à la décentralisation
Jean-Michel Houllegatte rapporteur pour la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales et à la décentralisation
Photo de Françoise Gatel Photo de Jean-Michel Houllegatte 

Extrait

Comment rétablir le lien de confiance entre les Français et leurs représentants, à commencer par leurs élus au niveau local ? Par quels moyens remédier au désintérêt croissant, chez certains de nos concitoyens, pour la chose publique et l'intérêt général ? Plus largement, comment redonner du sens au débat public et l'ancrer au plus proche des habitants, riverains, responsables associatifs... afin de transcender les seuls intérêts particuliers et permettre l'émergence de projets collectifs ? Aussi lancinantes que récurrentes, ces quelques questions résument les interrogations de tout élu local aujourd'hui, dans un contexte de montée de l'abstention lors des élections et de crise de confiance à l'égard du politique.

Elles portent sur les fondements même de notre système démocratique, son organisation, son fonctionnement et ses mutations.

Longtemps cantonnée à la reproduction d'un modèle unique, la démocratie locale s'ouvre désormais à de nouvelles...

Consulter le document complet sur le site du Sénat

(version pdf)

Mots-clés

collectivités territoriales
constitution
pouvoirs publics
société

1 commentaire :

Le 26/11/2021 à 07:57, bonothefly a dit :

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Bonjour

Trop peu d’organismes proposent le CTM et le BTM. De plus, ces diplômes ne correspondent pas à la réalité en terme de plans de formation et en terme d’organisation.

La plupart des personnes qui se forment sont en reconversion professionnelle et ne veulent pas quitter leurs emplois du jour au lendemain pour retourner à l’école. Ils cherchent des formations courtes en salon et en ligne. Cette loi anéantirait les rêves de personnes qui souhaitent se reconvertir et amènerait à la mort du métier de toiletteur. Obliger à suivre une formation en salon ou en ligne oui, mais pas les CTM ou BTM.

Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui

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