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a estimé que, dans le cas où l'accompagnant continue de travailler à temps partiel et bénéficie en conséquence d'une allocation réduite, il ne serait pas illégitime que celle-ci soit versée pour une durée plus longue que les vingt et un jours prévus en cas d'allocation à taux plein, dès lors que le coût global resterait le même.
a précisé que, en l'état, le texte prévoit une durée maximale de versement de trois semaines et il faudrait modifier ce point pour permettre un montant moindre d'allocation sur une période plus longue.
a fait valoir qu'il peut, dans certaines situations d'accompagnement, être plus pertinent de verser une allocation d'un montant moindre mais sur une durée plus longue, tout en conservant une enveloppe globale identique.