4 interventions trouvées.
...lement, le choix du régime linguistique de l’Agence, de son accord de siège, et la définition de ses perspectives financières. « Pour la France et, plus largement, les pays francophones membres de l’IRENA, le régime linguistique de celle-ci revêt une importance particulière. « En effet, un arrangement oral conclu lors de la conférence préparatoire des statuts précise que l’anglais sera la seule langue de travail de l’Agence. Cet arrangement a conduit à introduire dans le règlement intérieur de la commission préparatoire la notion de “ langue de travail officielle ”. L’anglais est ainsi devenu la langue officielle, non plus du fait d’un arrangement oral, mais dans un document écrit, ce qui confère à cette décision une portée beaucoup plus importante. « Malgré les efforts déployés par la France...
...roid, nous sommes en général dans un régime de hautes pressions, et il n’y a alors pas de vent. Ce sont pourtant dans ces périodes que l’on a le plus besoin d’énergie électrique. Ensuite, lorsque la vitesse du vent dépasse 80 kilomètres à l’heure, il faut arrêter les éoliennes afin de ne pas injecter une puissance trop importante dans le réseau. C’est ainsi que, dans les zones venteuses, comme le Languedoc, il n’est pas rare qu’une éolienne sur deux soit à l’arrêt. Sur le plan énergétique, l’éolien est donc de la « foutaise » !
...s de milliers d’hectares à la culture de plantes céréalières pour produire de l’éthanol, soit ! En revanche, si un pays comme la France se lance massivement dans les cultures pour l’éthanol, ce sera au détriment de productions agricoles destinées à l’alimentation. J’aurai pu faire la même observation en ce qui concerne la création de champs photovoltaïques. Comment en vouloir à un viticulteur du Languedoc ou du Roussillon, qui a un rendement de 300 euros à l’hectare, de déclasser ses vignes et d’accepter l’installation de panneaux photovoltaïques sur son sol, avec la promesse de gagner 3 000 euros ?
...tiques à formuler sur la démarche suivie par le Gouvernement. Son attitude sur ces sujets a été ambiguë, et souvent contraire aux principes dont il se prévaut. Ainsi, madame la ministre d’État, alors que le Gouvernement proclame l’importance de la francophonie pour l’influence et le rayonnement de notre pays dans le monde, nos représentants se sont peu battus pour obtenir que le français soit la langue de travail de l’Agence. C’est pourtant encore l’usage dans quelques grandes institutions internationales. En conséquence, l’anglais sera vraisemblablement la langue adoptée lors de l’assemblée générale. Un autre point important concerne les relations que nous entretenons avec nos partenaires européens, et plus particulièrement avec l’Allemagne, au sein de ce qu’il est convenu d’appeler le « coup...