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...mblent vouloir la destruction du Liban et s'est vivement élevée contre l'attitude d'Israël dans ce conflit. Dans cette situation délicate et dangereuse, elle a par ailleurs souhaité la promotion de la francophonie et de la culture française, en péril au Liban, afin de ne pas laisser le champ libre aux intégristes. Elle s'est enfin interrogée sur la levée du blocus par Israël, et sur le rôle de la FINUL dans le désarmement du Hezbollah et le contrôle des frontières.
s'est félicitée à son tour de l'action de la France dans l'évacuation de ses ressortissants et de son engagement dans la crise, soulignant la pertinence des garanties préalables demandées. Elle a estimé que l'action de la FINUL renforcée pouvait contribuer à une évolution positive de la région, et notamment du conflit israélo-palestinien. Elle s'est interrogée sur les modalités du contrôle de la frontière syro-libanaise et s'est inquiétée des conséquences de la présence dans la zone de nombre d'engins explosifs, que ce soit des bombes à sous munitions ou des mines antipersonnel ou antichar, laissés sur le terrain par le...
a estimé qu'il serait opportun de renforcer l'armée libanaise pour lui permettre de remplir ses difficiles missions de contrôle de la frontière syro-libanaise et de désarmement du Hezbollah. Il a souligné que la crédibilité des actions de maintien de la paix décidées par l'ONU découlerait étroitement de l'éventuelle réussite de cette FINUL renforcée.
s'est interrogé sur les moyens les plus appropriés pour mettre un terme au blocus maritime qu'Israël impose au Liban et sur son impact sur l'économie de ce pays. Il a souhaité également savoir si la nouvelle FINUL serait, à l'instar de l'armée israélienne et du Hezbollah, dotée de moyens d'observation aériens.
a relevé que la position de la France dans la crise libanaise recueillait un large assentiment dans le pays. Il s'est félicité que le Président de la République après un temps d'hésitation ait finalement décidé de l'envoi d'un contingent de 2.000 hommes, qui constitue le nécessaire soutien à la démarche diplomatique qu'il a conduite. Il a souligné que le mandat confié par l'ONU à la FINUL conduirait à une mission longue et difficile, d'autant plus que le Liban se trouve au coeur des tensions régionales et au coeur de l'affrontement entre l'Orient et l'Occident. Il a appelé à la levée rapide du blocus imposé par Israël et estimé par ailleurs qu'on ne pouvait pas faire abstraction de la Syrie pour le règlement des crises dans cette partie du monde. Il a enfin interrogé la ministre s...
s'est inquiété de la composition hétérogène de la FINUL qui devra de surcroît agir sur un territoire réduit et dévasté par les offensives israéliennes. Il s'est interrogé sur la pertinence de l'utilisation d'armements lourds, tels les chars Leclerc, pour combattre de petites unités mobiles, et a exprimé sa crainte d'une rupture du cessez-le-feu par la poursuite des trafics d'armes entre la Syrie et le Liban.
a salué les efforts accomplis par la France auprès de l'ONU pour que les forces de la FINUL puissent disposer de règles d'engagement réalistes. Il a souligné la fragilité persistante de la situation, marquée par la poursuite sporadique de raids israéliens et de répliques du Hezbollah. Il a convenu que le désarmement de cette milice ne pouvait incomber qu'à l'armée libanaise, mais qu'il ne manquerait pas de soulever de graves difficultés, qui nécessiteraient un dialogue tant avec l'Iran ...
a approuvé la politique menée par la France au cours de la crise, y compris en ce qui concerne les garanties demandées à propos de la FINUL renforcée. Il s'est demandé à qui reviendrait la surveillance de la frontière entre la Syrie et le Liban. Il s'est également interrogé sur la motivation des arrestations de ministres et de parlementaires palestiniens par les autorités israéliennes. Enfin, il a évoqué la situation en Côte d'Ivoire et le risque de remise en cause de l'échéance fixée par la communauté internationale pour la prochain...
s'est félicité de l'implication active de la diplomatie française en vue du règlement de la crise libanaise, tant par la voix du Président de la République que par l'action du ministre des affaires étrangères. Il a jugé d'autant moins compréhensible l'impression d'hésitation qu'ont semblé donner les autorités françaises au cours de la semaine écoulée à propos de notre participation à la FINUL, même s'il est bien entendu nécessaire d'obtenir des garanties quant au mandat et aux règles d'engagement de la force internationale. Il a donc estimé nécessaire de rectifier cette impression, en cohérence avec l'engagement fort de notre diplomatie. Il a également considéré que les Israéliens devraient tirer les leçons d'une crise au cours de laquelle ils ont fait un usage excessif de la force, s...
a souhaité savoir si Tel Aviv s'opposait à la présence, au sein de la FINUL, de contingents provenant de pays ne reconnaissant pas l'Etat d'Israël. Il s'est par ailleurs interrogé sur le risque d'un coup d'Etat au Liban.
s'est demandé si l'annonce, par l'Italie, d'une importante contribution à la FINUL, ne fragilisait pas la position française visant à obtenir préalablement des garanties sur le mandat et les règles d'engagement de la force. Il a par ailleurs considéré que la crise libanaise soulignait la nécessité de donner un nouvel élan à la politique euroméditerranéenne.