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a estimé qu'il serait opportun de renforcer l'armée libanaise pour lui permettre de remplir ses difficiles missions de contrôle de la frontière syro-libanaise et de désarmement du Hezbollah. Il a souligné que la crédibilité des actions de maintien de la paix décidées par l'ONU découlerait étroitement de l'éventuelle réussite de cette FINUL renforcée.
a relevé que la position de la France dans la crise libanaise recueillait un large assentiment dans le pays. Il s'est félicité que le Président de la République après un temps d'hésitation ait finalement décidé de l'envoi d'un contingent de 2.000 hommes, qui constitue le nécessaire soutien à la démarche diplomatique qu'il a conduite. Il a souligné que le mandat confié par l'ONU à la FINUL conduirait à une mission longue et difficile, d'autant plus que le Liban se trouve au coeur des tensions régionales et au coeur de l'affrontement entre l'Orient et l'Occident. Il a appelé à la levée rapide du blocus imposé par Israël et estimé par ailleurs qu'on ne pouvait pas faire abstraction de la Syrie pour le règlement des crises dans cette partie du monde. Il a enfin interrogé la...
a salué les efforts accomplis par la France auprès de l'ONU pour que les forces de la FINUL puissent disposer de règles d'engagement réalistes. Il a souligné la fragilité persistante de la situation, marquée par la poursuite sporadique de raids israéliens et de répliques du Hezbollah. Il a convenu que le désarmement de cette milice ne pouvait incomber qu'à l'armée libanaise, mais qu'il ne manquerait pas de soulever de graves difficultés, qui nécessiteraie...
a regretté que des règles précises d'engagement s'appliquant aux troupes placées sous l'égide de l'ONU n'aient pas été définies de longue date, alors que ce besoin s'en est fait sentir à de multiples reprises et encore récemment au Kosovo.