Interventions sur "garanties"

4 interventions trouvées.

Photo de Jacques PelletierJacques Pelletier :

a approuvé la politique menée par la France au cours de la crise, y compris en ce qui concerne les garanties demandées à propos de la FINUL renforcée. Il s'est demandé à qui reviendrait la surveillance de la frontière entre la Syrie et le Liban. Il s'est également interrogé sur la motivation des arrestations de ministres et de parlementaires palestiniens par les autorités israéliennes. Enfin, il a évoqué la situation en Côte d'Ivoire et le risque de remise en cause de l'échéance fixée par la communauté ...

Photo de Pierre MauroyPierre Mauroy :

...omatie française en vue du règlement de la crise libanaise, tant par la voix du Président de la République que par l'action du ministre des affaires étrangères. Il a jugé d'autant moins compréhensible l'impression d'hésitation qu'ont semblé donner les autorités françaises au cours de la semaine écoulée à propos de notre participation à la FINUL, même s'il est bien entendu nécessaire d'obtenir des garanties quant au mandat et aux règles d'engagement de la force internationale. Il a donc estimé nécessaire de rectifier cette impression, en cohérence avec l'engagement fort de notre diplomatie. Il a également considéré que les Israéliens devraient tirer les leçons d'une crise au cours de laquelle ils ont fait un usage excessif de la force, sans pour autant obtenir le résultat souhaité au plan sécuritair...

Photo de Jacques BlancJacques Blanc :

s'est demandé si l'annonce, par l'Italie, d'une importante contribution à la FINUL, ne fragilisait pas la position française visant à obtenir préalablement des garanties sur le mandat et les règles d'engagement de la force. Il a par ailleurs considéré que la crise libanaise soulignait la nécessité de donner un nouvel élan à la politique euroméditerranéenne.

Photo de Charles PasquaCharles Pasqua :

..., alors même que l'on constate dans d'autres pays du Moyen Orient une montée du poids politique des chiites. Il a estimé que le désarmement du Hezbollah restait suspendu au bon vouloir de ce dernier, tout en indiquant cependant que la milice chiite va désormais privilégier l'action politique. Il a jugé qu'il aurait été déraisonnable d'engager des militaires français sans obtenir préalablement des garanties sur les règles d'engagement de la force.