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s'est interrogé sur les possibilités du désarmement du Hezbollah et l'éventualité de son intégration dans l'armée libanaise. Il a considéré qu'un des épicentres du conflit s'était aussi déplacé aux Etats-Unis, dont les prises de position sont systématiquement favorables à Israël. Il a fait part de ses interrogations quant aux capacités d'action de la FINUL, alors que se poursuivent les survols israéliens du territoire libanais.
a souligné les conséquences négatives du projet américain de « Grand Moyen-Orient ». Il s'est interrogé sur la capacité de l'ONU à résoudre les conflits, le déséquilibre dans l'application des résolutions relatives à Israël ayant conduit le processus de paix à une impasse. Il a estimé qu'Israël portait une responsabilité majeure dans le conflit et que le Hezbollah, composante du peuple libanais, n'était pas seulement une milice confessionnelle, et que son désarmement devait s'intégrer dans un processus politique. Il a fait part de son inquiétude pour les forces engagées sous casques bleus au Liban, s'interrogeant su...
a exprimé sa fierté devant l'action conduite par la France à l'initiative du chef de l'Etat. Elle a déploré l'attitude de ceux qui semblent vouloir la destruction du Liban et s'est vivement élevée contre l'attitude d'Israël dans ce conflit. Dans cette situation délicate et dangereuse, elle a par ailleurs souhaité la promotion de la francophonie et de la culture française, en péril au Liban, afin de ne pas laisser le champ libre aux intégristes. Elle s'est enfin interrogée sur la levée du blocus par Israël, et sur le rôle de la FINUL dans le désarmement du Hezbollah et le contrôle des frontières.
évoquant les propos d'un responsable du Hezbollah selon lesquels l'armée libanaise n'était pas en mesure de défendre le pays, a souligné les rapports ambigus entre ce mouvement fortement armé, d'une part, et l'armée libanaise, notoirement sous-équipée, d'autre part. Elle s'est interrogée sur l'attitude d'Israël dans l'hypothèse où le désarmement des milices ne pourrait être opéré et a souligné le risque de voir la situation sécuritaire se dégrader à nouveau.
s'est interrogé sur les moyens les plus appropriés pour mettre un terme au blocus maritime qu'Israël impose au Liban et sur son impact sur l'économie de ce pays. Il a souhaité également savoir si la nouvelle FINUL serait, à l'instar de l'armée israélienne et du Hezbollah, dotée de moyens d'observation aériens.
...oi d'un contingent de 2.000 hommes, qui constitue le nécessaire soutien à la démarche diplomatique qu'il a conduite. Il a souligné que le mandat confié par l'ONU à la FINUL conduirait à une mission longue et difficile, d'autant plus que le Liban se trouve au coeur des tensions régionales et au coeur de l'affrontement entre l'Orient et l'Occident. Il a appelé à la levée rapide du blocus imposé par Israël et estimé par ailleurs qu'on ne pouvait pas faire abstraction de la Syrie pour le règlement des crises dans cette partie du monde. Il a enfin interrogé la ministre sur les chances de succès de deux des missions confiées à l'armée libanaise, le désarmement du Hezbollah et le contrôle de la frontière libano-syrienne.
a estimé que le sentiment général des Libanais est que seul le Hezbollah a permis de défendre leur pays contre les attaques menées par Israël. Les destructions massives et les nombreuses victimes civiles résultant des raids israéliens n'ont fait qu'accroître l'enracinement et la popularité du Hezbollah dans l'ensemble du Liban. Le règlement de cette crise serait, d'après lui, avant tout politique et devrait prendre en compte les pays comme l'Iran dont l'influence sur le Hezbollah est connue.
...'hommage rendu aux services français qui ont assisté nos ressortissants au cours du conflit. Se félicitant de la condamnation par la France de l'arrestation des ministres et députés palestiniens, elle a souhaité qu'une étape supplémentaire soit franchie en mettant fin au boycott à l'encontre du gouvernement légitimement élu par les Palestiniens. Enfin, elle a souligné que la paix et la sécurité d'Israël passaient par un arrêt des violences israéliennes dans les territoires occupés.
a souhaité savoir si Tel Aviv s'opposait à la présence, au sein de la FINUL, de contingents provenant de pays ne reconnaissant pas l'Etat d'Israël. Il s'est par ailleurs interrogé sur le risque d'un coup d'Etat au Liban.