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a regretté l'absence de l'Europe en tant qu'acteur du règlement de la crise du Liban. Elle a demandé des précisions sur la position de nos partenaires européens à propos des arrestations de responsables palestiniens et de la levée du blocus à l'encontre du Liban.
a rendu hommage au Président de la République qui a témoigné, tout au long de la crise, d'une extrême proximité à l'égard de la situation du Liban. Elle a également salué l'action du ministère des affaires étrangères et la forte mobilisation de ses agents lors des opérations d'évacuation de nos ressortissants et de mise en place, dans des conditions particulièrement difficiles, d'une assistance humanitaire. Elle a souligné que de nombreux Français n'avaient pas été évacués et restaient sur place dans des conditions précaires. Elle a indiqué...
s'est félicité de l'implication active de la diplomatie française en vue du règlement de la crise libanaise, tant par la voix du Président de la République que par l'action du ministre des affaires étrangères. Il a jugé d'autant moins compréhensible l'impression d'hésitation qu'ont semblé donner les autorités françaises au cours de la semaine écoulée à propos de notre participation à la FINUL, même s'il est bien entendu nécessaire d'obtenir des garanties quant au mandat et aux règles d'engagement d...
s'est félicité que sur l'insistance, notamment, de la France, les préoccupations du gouvernement libanais aient pu être prises en compte, aucune solution ne pouvant être imposée de l'extérieur. Il a par ailleurs souligné combien le sentiment d'injustice alimentait la radicalisation et le terrorisme, ce qui devait inciter la communauté internationale à exiger avec la même force la mise en oeuvre de toutes les résolutions des Nations unies. Enfin, il a regretté que l'Union européenne n'ait pas saisi...
a souhaité savoir si Tel Aviv s'opposait à la présence, au sein de la FINUL, de contingents provenant de pays ne reconnaissant pas l'Etat d'Israël. Il s'est par ailleurs interrogé sur le risque d'un coup d'Etat au Liban.
...du Hezbollah alors que ce dernier considère avoir gagné la guerre. Il a demandé des précisions sur la position de pays arabes comme la Jordanie, l'Egypte ou l'Arabie saoudite qui devraient jouer un rôle modérateur mais qui se sont relativement peu exprimés au cours du conflit. Enfin, il a souligné l'hypothèque que faisait peser le dossier nucléaire iranien sur le rôle que Téhéran pouvait jouer au Liban.
s'est demandé si l'annonce, par l'Italie, d'une importante contribution à la FINUL, ne fragilisait pas la position française visant à obtenir préalablement des garanties sur le mandat et les règles d'engagement de la force. Il a par ailleurs considéré que la crise libanaise soulignait la nécessité de donner un nouvel élan à la politique euroméditerranéenne.
s'est déclaré préoccupé par la situation nouvelle engendrée par le conflit au Liban. Il a constaté que la riposte israélienne avait finalement abouti à démontrer, aux yeux de l'opinion libanaise, que le Liban n'est pas capable de se défendre autrement que grâce au Hezbollah. Soulignant que l'expérience démontrait l'étroitesse des liens entre le Hezbollah et Téhéran, il s'est déclaré persuadé que l'Iran a provoqué un conflit dont il sort renforcé, alors même que l'on constate dan...