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Evoquant la comparaison effectuée par ce dernier entre un club et une entreprise « classique », M. Jacques Valade, président, a fait toutefois valoir le caractère non pérenne du « fonds de commerce » d'une SAOS, constitué de l'équipe de joueurs. Il a estimé que l'inévitable volatilité de la valorisation de cette dernière pouvait être préoccupante en cas d'ouverture du capital aux marchés financiers. Par ailleurs, il a demandé si l'introduction en Bourse d'un...
Après avoir rappelé que le projet de loi concernait l'ensemble des sociétés anonymes à objet sportif et non exclusivement les clubs de football, M. Alain Dufaut, rapporteur pour avis, s'est déclaré préoccupé quant aux garanties à apporter aux actionnaires, surtout aux petits, d'autant plus que le projet de loi n'impose pas aux sociétés d'être propriétaires de leur stade. Il a demandé, ensuite, si l'introduction en Bourse d'un certain nombre de clubs de football ne risquait pas de créer, à terme, un championnat « à deux vite...
s'est interrogé sur le projet sportif de l'Olympique lyonnais. Il a souhaité également des précisions sur le caractère fermé, ou non, des championnats à l'issue d'une telle évolution. Après avoir rappelé que le sport professionnel et le sport amateur se nourrissaient mutuellement, il s'est demandé si la recherche de rentabilité liée à l'introduction d'un club en bourse ne freinerait pas le développement du sport amateur, dont les difficultés tiennent à des raisons structurelles d'organisation, et non de gestion.
s'est interrogé sur la répartition des actions d'un club entre personnes physiques et investisseurs institutionnels et sur le projet de l'Olympique lyonnais.
a relevé que l'argument du besoin de compétitivité des clubs constituait un « leitmotiv » depuis quelques années. Il a demandé la position de l'intervenant sur les droits de diffusion télévisuelle des matches, ainsi que sur la mise à disposition des joueurs en faveur de l'équipe nationale.
Rappelant qu'un club sportif engage la notoriété et l'image d'une ville, dont il porte d'ailleurs généralement le nom, M. Michel Thiollière s'est interrogé sur les éventuelles conséquences de la stratégie ou des difficultés d'une société cotée sur la municipalité concernée, alors que cette dernière serait exclue tant du financement de l'investissement que de sa gestion.
s'est demandé si les clubs membres du « G14 » ne manifesteraient pas la volonté d'organiser un championnat réservé aux meilleurs clubs européens.
a évoqué la situation spécifique d'un joueur international, qui fait temporairement partie d'une équipe nationale, tout en restant attaché à son club et à ses sponsors.
...tion de l'AMF sur le dispositif d'informations encadrant l'introduction en Bourse des sociétés sportives. Après avoir indiqué que la propriété du stade ne constituerait pas, aux termes du projet de loi, une condition exigible à l'entrée en Bourse, il s'est interrogé sur les garanties apportées aux investisseurs en l'absence de détention de droits réels sur les équipements sportifs utilisés par un club voulant procéder à un appel public à l'épargne, et sur les difficultés rencontrées par les pays européens ayant adopté un dispositif similaire.
a soulevé les difficultés qui pourraient se poser en cas de rétrogradation d'un club coté en bourse. Il a abordé également la question des équipements sportifs et des normes édictées par les fédérations.