Interventions sur "frank"

6 interventions trouvées.

Photo de Charles RevetCharles Revet :

ayant souhaité obtenir des précisions sur l'actionnariat de SFR, M. Frank Esser, président de SFR, a précisé que Vivendi entendait conserver ses parts de SFR, contrairement à ce que certains médias suggéraient parfois. Il a rappelé que SFR détenait également 28 % de Neuf Cégétel et souhaitait augmenter cette participation. En revanche, SFR et Neuf Cégétel demeureraient deux entités distinctes.

Photo de Gérard BaillyGérard Bailly :

...ès avoir rappelé l'importance de la couverture des zones blanches pour les élus, en particulier en zone de montagne, a estimé que SFR avait fait preuve d'un véritable effort dans ce domaine, ce dont il s'est félicité. Il a regretté que les consommateurs aient parfois des difficultés à savoir quel opérateur desservait le mieux la zone où ils se trouvaient. Il a enfin adressé ses félicitations à M. Frank Esser pour les efforts menés par SFR en matière d'insertion des antennes-relais dans le paysage. M. Frank Esser, président de SFR, a souligné à nouveau, en réponse, l'importance du dialogue avec les élus en matière d'implantation des antennes-relais. Il a précisé qu'alors que la phase de négociation prenait en moyenne 26 mois par site, la phase d'installation n'était ensuite que de deux à trois m...

Photo de Benoît HuréBenoît Huré :

a jugé que les opérateurs mettaient parfois du temps à équiper les pylônes construits par les conseils généraux. Regrettant également une accessibilité du réseau moindre que par le passé, il a souhaité que la situation évolue rapidement dans ce domaine. M. Frank Esser, président de SFR, lui a répondu que les questions de l'implantation des antennes-relais et de la capacité du réseau étaient liées et a rappelé les efforts de SFR en matière de densification de son réseau. A ce titre, l'opérateur offrait 20 % de capacité supplémentaire au même prix que par le passé. Il a donc insisté sur l'effort très important réalisé par SFR pour maintenir et accroître la...

Photo de Bruno RetailleauBruno Retailleau :

...érateur retenu par le Conseil général se renvoyant la responsabilité des difficultés techniques rencontrées. Il a également souhaité savoir quelle était la position de SFR par rapport aux dispositions du projet de loi relatif au droit d'auteur et aux droits voisins que le Sénat devait examiner prochainement, dans la mesure où son actionnaire principal était également un fournisseur de contenu. M. Frank Esser, président de SFR, a reconnu les problèmes techniques qui pouvaient exister dans le cadre du dégroupage confié à Neuf Cégétel en Vendée. Il a également rappelé que la mise en place du service commençait toujours par les zones les plus densément peuplées et que la situation s'améliorerait progressivement pour les autres parties du département. Il a insisté sur le fait que Neuf Cégétel consac...

Photo de Daniel RaoulDaniel Raoul :

...es permettant d'éviter l'exposition aux ondes-radio des terminaux mobiles n'étaient pas mis en place pour les enfants, par exemple à travers la conception de terminaux ne fonctionnant qu'avec une oreillette et inhibant la fonction haut-parleur. Il a également suggéré que les opérateurs mettent en valeur auprès de leurs clients les terminaux ayant le plus faible niveau d'émission d'ondes radio. M. Frank Esser, président de SFR, après avoir rappelé que l'impact de l'utilisation des téléphones mobiles sur la santé était un sujet très important pour SFR, qui y consacrait une grande attention, a estimé que la proposition de M. Daniel Raoul était intéressante. Il a rappelé que SFR fournissait déjà une oreillette gratuite à tous ses clients. Les enfants constituant une clientèle particulièrement désir...

Photo de Marcel DeneuxMarcel Deneux :

après avoir abondé dans le sens de M. Daniel Raoul concernant l'importance du niveau d'émission des terminaux, a souhaité savoir quelle était la rentabilité de SFR et dans quels pays l'entreprise payait ses impôts. M. Frank Esser, président de SFR, lui a répondu que le bénéfice avant impôt de SFR était de 2,4 milliards d'euros, sur lesquels l'entreprise payait naturellement l'impôt sur les sociétés en France. A cet impôt, s'ajoutaient les 110 millions d'euros de taxe professionnelle versés aux collectivités territoriales.