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s'est interrogé sur l'origine de la fortune de M. Lakshmi Mittal, devenu en trente ans l'un des hommes les plus riches du monde. Observant que le marché de l'acier devrait connaître une très forte croissance ces prochaines années, il s'est également inquiété de l'éventuelle constitution d'un monopole mondial en ce domaine.
après avoir relevé que le problème de la taille critique des groupes français se posait aussi dans le monde bancaire, s'est inquiété de la structure capitalistique d'un groupe de la taille de Mittal. Il a ainsi estimé imprudent de faire reposer un aussi vaste ensemble sur quelques hommes seulement, avec tous les risques qu'un tel état de fait pouvait comporter.
a indiqué qu'il avait rencontré M. Lakshmi Mittal, il y a quelques années, et qu'il avait pu constater que son groupe était très présent au Kazakhstan. Ayant souligné la vision stratégique de cet entrepreneur, qui a, par exemple, très bien su anticiper la croissance du marché chinois, il s'est interrogé sur la stratégie qui sous-tend l'OPA du groupe Mittal sur Arcelor.
s'est posé la même question, rappelant l'enjeu que la sidérurgie représentait en Lorraine, région où environ 30.000 emplois sont concernés par cette OPA. Dans l'attente d'en savoir plus sur les intentions du groupe Mittal, il a exprimé une grande prudence au sujet de cette offre.
est revenu sur la puissance financière de M. Lakshmi Mittal, s'interrogeant une nouvelle fois sur l'origine de sa fortune ainsi que sur les contre-pouvoirs qui pouvaient exister face à une telle puissance. En réponse, M. Jean Arthuis, président, évoquant la réussite de grands groupes français, a indiqué qu'une structure capitalistique familiale n'était pas incompatible avec une grande réussite économique et financière. En outre, évoquant les travaux mené...