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a rappelé que le rapport d'information de la commission du mois de juillet 2007 sur l'application de la loi « Handicap » souligne la nécessité de prévoir un déroulement de carrière et une formation professionnelle adaptée pour les AVS. Cette question soulève plus largement celle de la formation professionnelle en France et il souhaite l'organisation prochaine d'un « Grenelle de la formation professionnelle...
a rappelé que les travaux récents de la mission sénatoriale d'information sur la formation professionnelle ont été salués et reconnus de grande qualité. Celle-ci a dénoncé un certain nombre de dérives et fait des propositions dont il conviendrait de tirer les conséquences.
a indiqué que le groupe socialiste va déposer une question orale avec débat sur la fin de vie dans le cadre de la prochaine séance mensuelle réservée afin de relancer le débat sur cette importante question au Sénat. Il a rappelé, pour les déplorer, les mauvaises conditions du débat de 2005 avec l'impossibilité d'amender le projet de loi et le départ des groupes centriste, socialiste et communiste de l'hémicycle avant le vote du texte. Sur le strict plan du bon sens, M. Leonetti ne paraît pas être, à son avis, le mieux placé pour l'évaluation de sa propre loi. D'ailleurs, un amendement socialiste, déposé en 2005, avait pr...
a jugé le sujet extrêmement complexe. En tant que rapporteur, en son temps, de la proposition de loi Leonetti au Sénat, il a rappelé que la loi actuelle permet déjà beaucoup, même si elle reste mal connue. Elle autorise notamment d'améliorer la prise en charge de la douleur, mais cela suppose que le patient accepte les soins. Dans les circonstances dramatiques récentes, cela n'était précisément pas le cas et on peut regretter l'exploitation médiatique d'une situation particulière. Une évaluation de la loi est sans doute indisp...
a regretté que le Sénat ne se soit pas davantage investi dans ce débat en 2005 et il a rappelé que la loi Leonetti a été certes adoptée à l'unanimité, mais seulement des parlementaires effectivement présents dans l'hémicycle ; en outre, il faut rappeler que ce texte n'est intervenu qu'à la suite de l'affaire Humbert, avec le caractère paradoxal de ne pas avoir constitué une réponse adaptée à ce cas très particulier. Les soins palliatifs et l'aide active à mourir ne sont pas contradictoires...
Pour conclure, Mme Janine Rozier a rappelé que les médecins prêtent serment de ne pas provoquer la mort délibérément.