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...Paquet climat », les objectifs de réduction du CO2 assignés à la France n'aient pas tenu compte de son très faible taux d'émission dû à son parc de centrales nucléaires. Puis, s'exprimant au nom de M. Ladislas Poniatowski, il a fait part du rejet, par le groupe de travail, sur le « Troisième paquet énergie », de l'alternative proposée par la Commission européenne tendant à obliger les opérateurs énergétiques à se séparer de leurs réseaux de transport ou à les confier à un opérateur indépendant. Il a donc souhaité savoir si la « troisième voie » proposée le 29 janvier 2008 par 8 pays européens, dont l'Allemagne et la France, pouvait faire l'objet d'un accord politique au cours de la réunion du Conseil des ministres chargés de l'énergie prévue le 6 juin 2008.
...Paquet climat », les objectifs de réduction du CO2 assignés à la France n'aient pas tenu compte de son très faible taux d'émission dû à son parc de centrales nucléaires. Puis, s'exprimant au nom de M. Ladislas Poniatowski, il a fait part du rejet, par le groupe de travail, sur le « Troisième paquet énergie », de l'alternative proposée par la Commission européenne tendant à obliger les opérateurs énergétiques à se séparer de leurs réseaux de transport ou à les confier à un opérateur indépendant. Il a donc souhaité savoir si la « troisième voie » proposée le 29 janvier 2008 par 8 pays européens, dont l'Allemagne et la France, pouvait faire l'objet d'un accord politique au cours de la réunion du Conseil des ministres chargés de l'énergie prévue le 6 juin 2008.
Après avoir expliqué que la position française en matière d'énergies renouvelables s'expliquait en large partie par la composition du bouquet énergétique qui accorde une place prépondérante au nucléaire, M. Marcel Deneux s'est interrogé sur les raisons qui avaient conduit la Commission européenne à fixer à la France un objectif contraignant de 23 % d'énergies renouvelables dans l'ensemble de ce bouquet. Il a ensuite remarqué que si les sources renouvelables comme la biomasse et le bois se développaient, la croissance la plus importante s'observait...
Après avoir expliqué que la position française en matière d'énergies renouvelables s'expliquait en large partie par la composition du bouquet énergétique qui accorde une place prépondérante au nucléaire, M. Marcel Deneux s'est interrogé sur les raisons qui avaient conduit la Commission européenne à fixer à la France un objectif contraignant de 23 % d'énergies renouvelables dans l'ensemble de ce bouquet. Il a ensuite remarqué que si les sources renouvelables comme la biomasse et le bois se développaient, la croissance la plus importante s'observait...