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a salué les avancées permises par le projet de loi. Evoquant les conceptions très différentes de la réserve citoyenne qui prévalent dans chaque armée (armée de l'air, marine, armée de terre...), il a souhaité savoir si un rapprochement des points de vue et la mise en place de passerelles pouvaient être envisagés. Il a ensuite souligné que, pour ce qui concerne la réparation des dommages en cas de blessure survenue dans le cadre d'une mission, les réservistes se trouvaient dans une situation très différente de ce...
a souligné la nécessité d'un effort de communication et de promotion de la réserve citoyenne, celle-ci étant particulièrement mal connue. Il s'agit d'une démarche citoyenne en particulier vers les jeunes et qui va au-delà des questions de défense, comme en atteste l'opération menée à Paris « 105 permis pour les jeunes », associée à l'obtention d'un emploi, ou encore les démarches en matière de promotion de l'intelligence économique auprès des entreprises. Elle a considéré que, devant le ...
...professionnalisation des armées qui a induit un changement de nature de la réserve. Elle a estimé que la loi de 1999 sur la réserve n'avait pas donné les résultats quantitatifs escomptés du fait d'un manque d'attractivité et d'une faiblesse de communication. Elle s'est interrogée sur le point de savoir si la modification de la structure de la réserve, en scindant réserve opérationnelle et réserve citoyenne, et qui n'affecte, dans la réserve citoyenne, que les seuls civils, ne contribuerait pas à la cantonner dans un rôle de relations publiques et à distendre encore le lien armée-nation. Elle a proposé qu'afin de garantir l'efficacité de la réserve opérationnelle, la période de formation puisse être portée à plus de 30 jours.
a souligné que l'appartenance à la réserve citoyenne était, jusqu'à une période récente, la seule possibilité ouverte aux femmes n'ayant pas accompli leur service national.