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et Jean-Marie Vanlerenberghe ont demandé à M. Dominique Libault de communiquer à la Mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (Mecss) les taux de cotisations et les niveaux de prestations de la totalité des régimes d'assurance maladie et d'assurance vieillesse.
et Jean-Marie Vanlerenberghe ont demandé à M. Dominique Libault de communiquer à la Mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (Mecss) les taux de cotisations et les niveaux de prestations de la totalité des régimes d'assurance maladie et d'assurance vieillesse.
a ensuite évoqué la question de la compensation spécifique entre régimes de salariés, dite « surcompensation », et a insisté sur la perspective de la création d'un régime unique y compris au sein de la branche vieillesse.
a ensuite évoqué la question de la compensation spécifique entre régimes de salariés, dite « surcompensation », et a insisté sur la perspective de la création d'un régime unique y compris au sein de la branche vieillesse.
...Il a regretté que, malgré ces interventions pourtant particulièrement argumentées, la version du rapport soumise à discussion n'en ait pas tenu compte, tout en espérant que la réunion du 29 mars lui permette finalement d'être mieux entendu. Rappelant que le COR est une instance de concertation et de débats indépendante du Gouvernement, créée en 2000 et rassemblant des techniciens de l'assurance vieillesse, des syndicalistes, des personnalités qualifiés et des parlementaires, il a souligné que cet organisme a vu son rôle institutionnel sans cesse renforcé au cours des dernières années. Ainsi, à l'occasion de la réforme des retraites, les attributions de cet organisme ont été fixées par la loi. Sans sous-estimer la qualité de l'expertise du COR, M. Dominique Leclerc a déploré que les documents prép...
a considéré que, plus encore qu'en 2003, la commission doit agir comme une force de propositions dans le débat sur l'avenir de l'assurance vieillesse qui s'ouvrira d'ici à 2008. C'est d'ailleurs dans cet esprit qu'il participe dès maintenant aux groupes de travail constitués récemment par le Gouvernement, tant sur l'emploi des seniors que sur la compensation démographique. Il s'est dit très soucieux de constater que l'opinion publique considère souvent que la réforme des retraites de 2003 a réglé, une bonne fois pour toutes, cette question.
Après avoir félicité M. Dominique Leclerc pour ses propos sur le COR et le courage de ses prises de position répétées dans le domaine des retraites, M. Alain Vasselle a estimé qu'il en va à la fois de l'intérêt du Gouvernement et du Parlement d'avoir la lucidité d'entendre un diagnostic réaliste sur l'avenir de l'assurance vieillesse. Délivrer aujourd'hui un message exagérément optimiste à l'attention de l'opinion publique ne peut que rendre plus difficiles les prochaines étapes de la réforme des retraites, en suscitant de futures désillusions et de l'amertume. Rappelant qu'en 2003, M. François Fillon, alors ministre des affaires sociales, avait fort justement souligné l'importance de poursuivre, à l'avenir, l'information des...
...est, dans notre pays, l'un des plus faibles d'Europe. Il a considéré que de nombreux dispositifs, comme la possibilité laissée aux employeurs de mettre à la retraite d'office les salariés avant l'âge de soixante-cinq ans, sont contraires à l'esprit de la réforme. Il a souhaité qu'en définitive, l'étape intermédiaire de 2008 permette de réussir la poursuite du processus de sauvetage de l'assurance vieillesse.