6 interventions trouvées.
...s grandes sociétés, comme Vinci ou Eiffage, ont dit, devant Louis Nègre, qu'elles étaient prêtes à participer à l'appel d'offres. Je ne conteste pas le fait que nous ne pouvons pas faire d'adossement en raison de la législation européenne ; mais nous pouvons faire preuve de volontarisme : quand, pour finir la deuxième ceinture de Paris, a fallu réaliser un tunnel de 3 kilomètres, on a accordé une concession de 75 ans à la société qui conduisait les travaux. Cela démontre que nous disposons d'outils pour la réalisation de cette autoroute et c'est pourquoi je demande son inscription au SNIT, la déclaration d'utilité publique, et le lancement de l'appel d'offres. Nous verrons bien à quelle hauteur les entreprises seront prêtes à financer ce projet dont elles ont grand intérêt, je le répète, puisqu'elle...
...crétaire d'Etat, pour savoir si cette fiche serait suivie concrètement d'un budget, au moins d'études, pour un certain nombre de ces routes nationales qui ont été reconnues d'intérêt plus que général et prioritaire. Depuis, pas de nouvelles. J'ai rencontré Mme la ministre le 26 avril dernier, et nous lui avons suggéré, comme cela avait été fait en 2003, de réfléchir à la possibilité de donner à concession des deux fois deux voies express, sans adossement, pour certains territoires. Mme la ministre m'a répondu que c'était intéressant, qu'un certain nombre de cas pourraient être réglés avec cette solution. Il y a trois jours, j'ai fait mon stage d'immersion dans la gendarmerie, dans la région Midi-Pyrénées, et j'ai constaté que sur les 120 kilomètres de la RN 21, les choses s'aggravent : il y a depu...
...togènes que vous avez très clairement pointés dans le schéma. Il y en a deux dans l'Allier, un sur la RN7 et un sur la RCEA, ce qui représente la moitié des points accidentogènes dans un seul département. La ministre a clairement indiqué que pour la RN 7, le financement serait assuré par l'Etat. Pour la RCEA, en revanche, tous les élus de l'Allier se sont bien évidemment prononcés pour la mise en concession, et la ministre ne va pas tarder à se prononcer sur ce point. Cependant, et je le redis, nous pensons que les Bourbonnais ne doivent pas être soumis à la double peine et qu'il doit y avoir des aménagements sur les points de péage et la gratuité de certains tronçons. Est-ce possible techniquement ? C'est une demande très impérieuse, qui subordonne l'acceptation de la concession. Pour la RCEA, no...
Si nous voulons que la concession soit acceptée politiquement, nous ne pouvons pas dissuader aujourd'hui les habitants de prendre la RCEA parce qu'elle est trop dangereuse, et les dissuader de la prendre demain en raison du coût de son utilisation.
J'entends bien ce que vous dites, mais la concession va durer encore une vingtaine d'années pendant lesquelles on va devoir supporter des embouteillages insupportables à 60 000 véhicules par jour en périodes de pointe. Je rappelle que cela fait très longtemps que nous discutons de ce dossier. Nous avions d'ailleurs commencé à le faire il y a une trentaine d'années avec M. Kosciusko-Morizet, qui était alors directeur départemental de l'équipement (D...