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a ensuite présenté le contenu du cahier des charges relatif à l'étude sur la prise en charge psychiatrique en France, qui sera menée par le Sénat au cours de l'année 2008. Conformément aux décisions prises précédemment par l'office, ce travail de recherche portera sur trois sujets : d'une part, l'adaptation territoriale et organisationnelle du système de soins aux besoins de la population ; d'autre part, l'avenir des professions médicales et paramédicales dans le secteur psychiatrique ; enfin, les enj...
a approuvé cette proposition. Il a rappelé que la prise charge psychiatrique constitue un enjeu de société majeur et que la France est en retard dans ce domaine, en particulier pour ce qui concerne la définition de référentiels. L'étude de l'Opeps améliorera le niveau d'information des parlementaires sur ces questions dans l'optique d'un prochain projet de loi. Il a rappelé, à cet égard, qu'ils s'étaient émus, lors de la discussion du projet de loi relatif à la préventio...
...r, l'empilement de structures de soins multiples qui interviennent en milieux hospitalier, scolaire et professionnel, et l'accroissement spectaculaire du nombre de psychologues, dont l'intervention ajoute souvent à la confusion. L'Opeps a ensuite adopté à l'unanimité le cahier des charges et a autorisé le lancement de l'appel d'offres pour choisir l'affectataire de l'étude sur la prise en charge psychiatrique en France.
s'est déclaré favorable à l'organisation d'auditions publiques dans le cadre des travaux de l'Opeps sur la prise en charge psychiatrique. Le président Jean-Michel Dubernard, député, a souhaité des précisions sur la façon dont ces auditions publiques pourraient être organisées.
a fait valoir que ces malades sont également souvent incarcérés. Il est aujourd'hui indispensable que le secteur médico-social prenne en compte les problèmes psychiatriques. Toutefois, les psychiatres ne sont pas exempts de critiques : leurs querelles internes nuisent trop souvent à l'efficacité de la prise en charge des malades et pourraient utilement être réglées par la diffusion d'un référentiel de bonnes pratiques.
a rappelé que les secteurs psychiatriques avaient justement été créés pour obliger les psychiatres des hôpitaux à suivre les patients après leur sortie. Il a également fait part des craintes que lui inspire l'intégration des malades psychiques dans la catégorie des personnes handicapées par la loi « handicap » du 11 février 2005. Il est d'ailleurs régulièrement interpellé sur cette question par des responsables de centres d'aide par le...
s'est inquiété de la diminution annoncée du nombre de psychiatres et des fermetures de lits dans les établissements pédopsychiatriques, alors que, parallèlement, on constate l'augmentation du nombre de malades. Il s'est demandé si la réouverture de la formation d'infirmiers spécialisés dans ce domaine, aujourd'hui disparue, ne constituerait pas une solution pour améliorer la prise en charge de ces patients.
s'est interrogé sur le fait de savoir si les malades souffrant d'Alzheimer doivent être traités dans des structures psychiatriques, dont il a estimé qu'elles prennent trop souvent en charge des personnes relevant en réalité du secteur médico-social. Il s'est également interrogé sur l'opportunité de traiter du rôle des psychothérapeutes dans l'étude. S'appuyant sur son expérience de président d'un établissement de deux mille places, il a remarqué que les psychiatres sont souvent réticents à l'installation de lits psychiatri...
a fait valoir que la situation est très hétérogène sur le territoire national, citant l'exemple du département du Jura dans lequel le fonctionnement du secteur psychiatrique est satisfaisant.
a conclu en souhaitant que ces critères figurent dans le cahier des charges de l'appel d'offres pour l'étude sur la prise en charge psychiatrique.