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a souligné la pertinence d'un examen de la place de la France dans les pays émergents. Il a considéré que la capacité d'accueil des étudiants étrangers était décisive, partageant l'appréciation selon laquelle la barrière de la langue n'est pas nécessairement un obstacle dirimant. Il s'est interrogé sur la prise en compte de la dimension européenne à l'égard des pays émergents, mais aussi sur la place particulière de l'Afrique dans cette problématique.
...lexion stratégique pour la suite des négociations au sein de l'OMC. Evoquant l'OPA du groupe Mittal Steel, il a rappelé que ce dernier était un groupe européen, et que les stratégies de tels groupes transnationaux devaient faire l'objet d'un examen attentif. Il s'est ensuite interrogé sur les tensions induites sur les matières premières et les ressources énergétiques par le développement des pays émergents.
...inances et celui des affaires étrangères, restait problématique pour la cohérence de l'action extérieure de l'Etat. Il a également souhaité recueillir l'appréciation de M. Gaymard sur la coopération décentralisée, qui peut être un outil précieux de la présence et de l'influence françaises. Il s'est enfin interrogé sur la pertinence de la notion de zone de solidarité prioritaire à l'égard des pays émergents.
a considéré que la France se devait d'avoir une stratégie novatrice en direction des pays émergents, qui mettent eux-mêmes en oeuvre une démarche internationale très active. Ces pays sont ainsi souvent des concurrents de la France, par exemple en Afrique. Il s'est dit convaincu de la nécessité, pour la France, d'asseoir des positions stratégiques en Afrique en général et en particulier dans des pays comme l'Afrique du Sud, ou d'autres Etats émergents, comme la Chine, sont très actifs.