10 interventions trouvées.
a interrogé M. Jean-Claude Manuguerra sur l'avis du 10 mai du CLCG qui laisse penser qu'une vaccination partielle de la population était plus efficace si elle commençait après le début de la pandémie.
a interrogé M. Jean-Claude Manuguerra sur l'avis du 10 mai du CLCG qui laisse penser qu'une vaccination partielle de la population était plus efficace si elle commençait après le début de la pandémie.
a souhaité savoir pourquoi, lors de sa réunion du 12 mai 2009, le CLCG avait estimé qu'une vaccination à double dose n'était « pas aberrante ».
a souhaité savoir pourquoi, lors de sa réunion du 12 mai 2009, le CLCG avait estimé qu'une vaccination à double dose n'était « pas aberrante ».
a demandé quelle est la justification médicale de la mise à disposition de vaccins pour l'ensemble de la population si l'intérêt de la vaccination est individuel, dès lors que la pandémie est commencée.
a demandé quelle est la justification médicale de la mise à disposition de vaccins pour l'ensemble de la population si l'intérêt de la vaccination est individuel, dès lors que la pandémie est commencée.
a noté que ceci laisse 80 % de la population. Il a souhaité savoir quelles avaient été les conclusions du groupe de travail mis en place par le CLCG pour actualiser la fiche technique sur la stratégie et les modalités d'organisation de la vaccination.
a noté que ceci laisse 80 % de la population. Il a souhaité savoir quelles avaient été les conclusions du groupe de travail mis en place par le CLCG pour actualiser la fiche technique sur la stratégie et les modalités d'organisation de la vaccination.
a demandé si les membres du CLCG avaient conduit une réflexion sur la manière dont les Français recevaient les messages liés à la vaccination. Une telle approche a été conduite aux Etats-Unis et a amené les autorités à ne pas recourir aux adjuvants en raison des réticences de l'opinion publique.
a demandé si les membres du CLCG avaient conduit une réflexion sur la manière dont les Français recevaient les messages liés à la vaccination. Une telle approche a été conduite aux Etats-Unis et a amené les autorités à ne pas recourir aux adjuvants en raison des réticences de l'opinion publique.