Interventions sur "vaccin"

12 interventions trouvées.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, les deux enquêtes qu'il a menées sur le sentiment des Français face à la vaccination ont été financées par le Service d'...

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, les deux enquêtes qu'il a menées sur le sentiment des Français face à la vaccination ont été financées par le Service d'...

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a demandé à quel moment la perception du risque et donc, l'intention de se faire vacciner, avaient été les plus fortes ? Qu'est-ce qui les a fait basculer ?

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a demandé à quel moment la perception du risque et donc, l'intention de se faire vacciner, avaient été les plus fortes ? Qu'est-ce qui les a fait basculer ?

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

Relevant qu'à l'Assemblée nationale, M. Michel Setbon avait dit que l'échec de la campagne de vaccination pouvait être prévu, M. Alain Milon, rapporteur, s'est demandé comment on pouvait expliquer l'adaptation tardive de la stratégie vaccinale à la réalité de la situation.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

Relevant qu'à l'Assemblée nationale, M. Michel Setbon avait dit que l'échec de la campagne de vaccination pouvait être prévu, M. Alain Milon, rapporteur, s'est demandé comment on pouvait expliquer l'adaptation tardive de la stratégie vaccinale à la réalité de la situation.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre p...

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre p...

Photo de Claude DomeizelClaude Domeizel :

s'est demandé si ce n'était pas en raison de la faiblesse des intentions de vaccination, compte tenu de la masse de vaccins commandés, que l'on avait lancé une campagne « au bazooka ». Tous les Français ont reçu une lettre individuelle, accompagnée d'un bon de vaccination. Il a voulu savoir si M. Michel Setbon avait préconisé cette démarche et s'il en avait été informé.

Photo de Claude DomeizelClaude Domeizel :

s'est demandé si ce n'était pas en raison de la faiblesse des intentions de vaccination, compte tenu de la masse de vaccins commandés, que l'on avait lancé une campagne « au bazooka ». Tous les Français ont reçu une lettre individuelle, accompagnée d'un bon de vaccination. Il a voulu savoir si M. Michel Setbon avait préconisé cette démarche et s'il en avait été informé.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.