4 interventions trouvées.
a souhaité revenir sur les sentiments de peur ou de panique évoqués par la HAS, et qui ont été invoqués pour « excuser » les décisions prises ensuite par les autorités. Se référant aux déclarations de la directrice générale de l'OMS qui estimait qu'il y avait pandémie, mais que la maladie ne paraissait pas sévère, mais aussi à la nouvelle définition de la pandémie, qui ne fait plus référence à la notion de gravité, il a constaté que l'on s'était trouvé dans une situation paradoxale de « grippette » pandémique, notant que l'OMS vient de maintenir, au moins jusqu'à juillet prochain, la phase 6. Il a demandé si la HAS faisait la même analyse.
a souhaité revenir sur les sentiments de peur ou de panique évoqués par la HAS, et qui ont été invoqués pour « excuser » les décisions prises ensuite par les autorités. Se référant aux déclarations de la directrice générale de l'OMS qui estimait qu'il y avait pandémie, mais que la maladie ne paraissait pas sévère, mais aussi à la nouvelle définition de la pandémie, qui ne fait plus référence à la notion de gravité, il a constaté que l'on s'était trouvé dans une situation paradoxale de « grippette » pandémique, notant que l'OMS vient de maintenir, au moins jusqu'à juillet prochain, la phase 6. Il a demandé si la HAS faisait la même analyse.
...a question posée par M. François Autain, président, sur la compétence de la commission de la transparence, M. Alain Milon, rapporteur, a regretté qu'elle n'ait pas à intervenir dans le cas d'un médicament fourni par l'Etat - et donc pris en charge par la collectivité - pour se prononcer sur son bon usage. Il a demandé s'il ne serait pas souhaitable que la HAS soit consultée, à l'avenir, en cas de pandémie.
...a question posée par M. François Autain, président, sur la compétence de la commission de la transparence, M. Alain Milon, rapporteur, a regretté qu'elle n'ait pas à intervenir dans le cas d'un médicament fourni par l'Etat - et donc pris en charge par la collectivité - pour se prononcer sur son bon usage. Il a demandé s'il ne serait pas souhaitable que la HAS soit consultée, à l'avenir, en cas de pandémie.