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a souhaité connaître l'opinion de M. Roger Salamon sur les propos de M. Yves Charpak, décelant une réticence du HCSP face à la vaccination de masse.
a souhaité connaître l'opinion de M. Roger Salamon sur les propos de M. Yves Charpak, décelant une réticence du HCSP face à la vaccination de masse.
a demandé sur quelles bases scientifiques repose le seuil barrière de 30 %. Le Royaume-Uni, par exemple, avait pris la décision de vacciner l'intégralité de sa population.
a demandé sur quelles bases scientifiques repose le seuil barrière de 30 %. Le Royaume-Uni, par exemple, avait pris la décision de vacciner l'intégralité de sa population.
s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
a demandé si M. Roger Salamon partageait l'opinion exprimée par le professeur Gentilini sur le plus grand intérêt de la vaccination contre le pneumocoque afin de lutter contre les complications grippales.
a demandé si M. Roger Salamon partageait l'opinion exprimée par le professeur Gentilini sur le plus grand intérêt de la vaccination contre le pneumocoque afin de lutter contre les complications grippales.
a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.
a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.