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Il reflète uniquement l'activité des sénateurs sur la période d'octobre 2004 à mars 2023.
Interventions sur "virus"
10 interventions trouvées.
Alain Milon, rapporteur :s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
Alain Milon, rapporteur :s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
Alain Milon, rapporteur :a estimé que de tels enseignements auraient déjà dû être retirés de l'expérience acquise lors de la préparation de la lutte contre le virus H5N1.
Alain Milon, rapporteur :a estimé que de tels enseignements auraient déjà dû être retirés de l'expérience acquise lors de la préparation de la lutte contre le virus H5N1.
Alain Milon, rapporteur :a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
Alain Milon, rapporteur :a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
Gilbert Barbier :a estimé que dès lors que le virus attaquait des personnes sans facteurs de risque connus, il était très difficile de savoir qu'il ne serait pas grave.
Gilbert Barbier :a estimé que dès lors que le virus attaquait des personnes sans facteurs de risque connus, il était très difficile de savoir qu'il ne serait pas grave.
Marie-Christine Blandin :a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.
Marie-Christine Blandin :a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.
