Interventions sur "chômeurs"

4 interventions trouvées.

Photo de Paul GirodPaul Girod :

...économique » et il a remarqué que si un « vocabulaire commun » se dégage au CNFPTLV, il n'en va peut-être pas de même dans les instances de décision. M. Dominique Balmary a précisé que le critère d'efficacité économique correspond à une approche micro-économique, au terme de laquelle l'utilité de la formation professionnelle des salariés se mesure à leurs seuls gains de rémunération, et celle des chômeurs à la reprise d'un emploi, ce qui pose accessoirement le problème du délai à l'issue duquel doit être observée la situation des chômeurs concernés. Par ailleurs, il a souligné qu'une réunion du conseil sur deux se conduisait en région, en présence d'acteurs régionaux.

Photo de Paul GirodPaul Girod :

...économique » et il a remarqué que si un « vocabulaire commun » se dégage au CNFPTLV, il n'en va peut-être pas de même dans les instances de décision. M. Dominique Balmary a précisé que le critère d'efficacité économique correspond à une approche micro-économique, au terme de laquelle l'utilité de la formation professionnelle des salariés se mesure à leurs seuls gains de rémunération, et celle des chômeurs à la reprise d'un emploi, ce qui pose accessoirement le problème du délai à l'issue duquel doit être observée la situation des chômeurs concernés. Par ailleurs, il a souligné qu'une réunion du conseil sur deux se conduisait en région, en présence d'acteurs régionaux.

Photo de Serge DassaultSerge Dassault :

après s'être interrogé sur les réalisations concrètes du président du CNFPTLV, s'est intéressé au devenir des 180 000 jeunes qui sortent chaque année du système scolaire et de formation sans qualification et sans métier. Mme Gisèle Printz a estimé, pour sa part, que la formation professionnelle ne s'adresse pas suffisamment aux chômeurs et remarqué que, par conséquent, les effectifs les plus nombreux de personnes à former relèvent de l'ANPE.

Photo de Serge DassaultSerge Dassault :

après s'être interrogé sur les réalisations concrètes du président du CNFPTLV, s'est intéressé au devenir des 180 000 jeunes qui sortent chaque année du système scolaire et de formation sans qualification et sans métier. Mme Gisèle Printz a estimé, pour sa part, que la formation professionnelle ne s'adresse pas suffisamment aux chômeurs et remarqué que, par conséquent, les effectifs les plus nombreux de personnes à former relèvent de l'ANPE.