Interventions sur "esthétique"

22 interventions trouvées.

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Les patients vous paraissent-ils correctement informés des conséquences et des risques éventuels associés aux interventions de chirurgie esthétique ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Les patients vous paraissent-ils correctement informés des conséquences et des risques éventuels associés aux interventions de chirurgie esthétique ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Il faut différencier la médecine esthétique, qui est un acte médical, de ce qui relève de l'acte d'esthétique pur, qui concerne certains produits dont on ignore s'ils sont toxiques.

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Il faut différencier la médecine esthétique, qui est un acte médical, de ce qui relève de l'acte d'esthétique pur, qui concerne certains produits dont on ignore s'ils sont toxiques.

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Qu'une tierce personne intervienne pour conseiller, informer, suivre, me paraît une excellente proposition. Que ce soit le médecin psychiatre est plus discutable. Toutes les personnes qui font appel à la chirurgie esthétique ne relèvent pas de la psychiatrie, qui vise à soigner les troubles de l'esprit. Pourquoi ne pas prévoir une consultation obligatoire du médecin traitant qui est la personne qui connaît le mieux le patient ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Qu'une tierce personne intervienne pour conseiller, informer, suivre, me paraît une excellente proposition. Que ce soit le médecin psychiatre est plus discutable. Toutes les personnes qui font appel à la chirurgie esthétique ne relèvent pas de la psychiatrie, qui vise à soigner les troubles de l'esprit. Pourquoi ne pas prévoir une consultation obligatoire du médecin traitant qui est la personne qui connaît le mieux le patient ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Des reportages dans les médias dénoncent de manière récurrente des « chirurgiens voyous » qui pratiquent la chirurgie esthétique sans être inquiétés par les autorités sanitaires. Est-ce un phénomène répandu ? Assiste-t-on à l'émergence d'une chirurgie esthétique low cost, qui répond à une demande, sans respecter les exigences en matière de qualité des soins et de sécurité sanitaire ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Des reportages dans les médias dénoncent de manière récurrente des « chirurgiens voyous » qui pratiquent la chirurgie esthétique sans être inquiétés par les autorités sanitaires. Est-ce un phénomène répandu ? Assiste-t-on à l'émergence d'une chirurgie esthétique low cost, qui répond à une demande, sans respecter les exigences en matière de qualité des soins et de sécurité sanitaire ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Les nouveaux métiers de l'industrie de l'esthétique ne sont pas homologués. Ne faut-il pas les interdire ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Les nouveaux métiers de l'industrie de l'esthétique ne sont pas homologués. Ne faut-il pas les interdire ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Quelle est la frontière entre chirurgie esthétique et médecine esthétique ? Si médecine esthétique il y a, doit-on mettre en place des diplômes validants ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Quelle est la frontière entre chirurgie esthétique et médecine esthétique ? Si médecine esthétique il y a, doit-on mettre en place des diplômes validants ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Au-delà des séquelles physiques, une opération de chirurgie esthétique ratée a également des conséquences psychologiques sur le patient. Comment les mesurer et les traiter ? Cela peut-il conduire à une sous-déclaration des incidents de la part des patients auprès de leur médecin ? Percevez-vous un tel phénomène ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Au-delà des séquelles physiques, une opération de chirurgie esthétique ratée a également des conséquences psychologiques sur le patient. Comment les mesurer et les traiter ? Cela peut-il conduire à une sous-déclaration des incidents de la part des patients auprès de leur médecin ? Percevez-vous un tel phénomène ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Pas seulement en matière de chirurgie esthétique. On a néanmoins le sentiment que les médecins s'attachent aujourd'hui à une meilleure prise en charge de la douleur.

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Pas seulement en matière de chirurgie esthétique. On a néanmoins le sentiment que les médecins s'attachent aujourd'hui à une meilleure prise en charge de la douleur.

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Avez-vous des suggestions à formuler en matière de sécurité sanitaire et de matériovigilance, d'encadrement de la formation et de la pratique de la chirurgie esthétique ou de respect des droits des patients ?

Photo de Bernard CazeauBernard Cazeau, rapporteur :

Avez-vous des suggestions à formuler en matière de sécurité sanitaire et de matériovigilance, d'encadrement de la formation et de la pratique de la chirurgie esthétique ou de respect des droits des patients ?

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Pour les prothèses ASR, on peut retrouver la traçabilité. Mais les chirurgiens esthétiques nous ont fait part de leurs préoccupations car s'ils utilisent des produits bien identifiés, ceux-ci peuvent être faits de composants venus d'ailleurs, d'où la difficulté d'assurer leur traçabilité.

Photo de Catherine GénissonCatherine Génisson :

Pour les prothèses ASR, on peut retrouver la traçabilité. Mais les chirurgiens esthétiques nous ont fait part de leurs préoccupations car s'ils utilisent des produits bien identifiés, ceux-ci peuvent être faits de composants venus d'ailleurs, d'où la difficulté d'assurer leur traçabilité.