Interventions sur "dopant"

8 interventions trouvées.

Photo de Jean-Jacques LozachJean-Jacques Lozach, rapporteur :

...faits qu'elle a livrés sont des faits bruts, qui n'ont pas été contestés, qui sont issus du laboratoire. La nature des produits n'a pas été évoquée. Les épreuves concernées et les sanctions prises non plus. Enfin, seule l'année 2012 était mentionnée. Le rapport que nous publierons sera plus précis et mettra fin à cette polémique. Afin d'associer les fédérations à cette évaluation de la pratique dopante, j'ai envoyé un courrier aux présidents des huit fédérations sportives mentionnées lors de l'audition, les interrogeant sur la réalité des sanctions prises ces dernières années. Notre seul objectif est de mieux connaître la réalité du dopage.

Photo de Jean-Jacques LozachJean-Jacques Lozach, rapporteur :

...faits qu'elle a livrés sont des faits bruts, qui n'ont pas été contestés, qui sont issus du laboratoire. La nature des produits n'a pas été évoquée. Les épreuves concernées et les sanctions prises non plus. Enfin, seule l'année 2012 était mentionnée. Le rapport que nous publierons sera plus précis et mettra fin à cette polémique. Afin d'associer les fédérations à cette évaluation de la pratique dopante, j'ai envoyé un courrier aux présidents des huit fédérations sportives mentionnées lors de l'audition, les interrogeant sur la réalité des sanctions prises ces dernières années. Notre seul objectif est de mieux connaître la réalité du dopage.

Photo de Alain NériAlain Néri :

...e à des fins thérapeutiques (AUT) ? Que pensez-vous des contrôles inopinés ? Vous avez participé à leur genèse avec la conférence de presse du 11 janvier 1986. Dans les sports collectifs, ils ne sont pas la panacée, notamment parce que la localisation de sportifs est difficile. La prévention est en effet capitale. Mais ne faut-il pas mettre l'accent sur la recherche des pourvoyeurs de produits dopants ? Ceux-ci mettent en danger la santé des sportifs en recherchant le profit.

Photo de Alain NériAlain Néri :

...e à des fins thérapeutiques (AUT) ? Que pensez-vous des contrôles inopinés ? Vous avez participé à leur genèse avec la conférence de presse du 11 janvier 1986. Dans les sports collectifs, ils ne sont pas la panacée, notamment parce que la localisation de sportifs est difficile. La prévention est en effet capitale. Mais ne faut-il pas mettre l'accent sur la recherche des pourvoyeurs de produits dopants ? Ceux-ci mettent en danger la santé des sportifs en recherchant le profit.

Photo de Michel Le ScouarnecMichel Le Scouarnec :

...ternational, et il n'est pas sûr que la France puisse, à elle seule, le mener. Comment jouer un rôle moteur au niveau mondial ? De grands progrès doivent être faits dans la prévention du dopage à l'école, dans le temps scolaire, mais aussi périscolaire. Comment pensez-vous que l'on puisse toucher l'ensemble de nos jeunes ? Le calendrier sportif est-il en cause dans la propagation des pratiques dopantes ? Peut-on maîtriser le nombre d'épreuves ? Enfin, devrait-on augmenter le nombre de contrôles ? Leur coût est-il supportable ? Peut-on envisager de contrôler davantage de sportifs ? Car le dopage ne semble pas reculer.

Photo de Michel Le ScouarnecMichel Le Scouarnec :

...ternational, et il n'est pas sûr que la France puisse, à elle seule, le mener. Comment jouer un rôle moteur au niveau mondial ? De grands progrès doivent être faits dans la prévention du dopage à l'école, dans le temps scolaire, mais aussi périscolaire. Comment pensez-vous que l'on puisse toucher l'ensemble de nos jeunes ? Le calendrier sportif est-il en cause dans la propagation des pratiques dopantes ? Peut-on maîtriser le nombre d'épreuves ? Enfin, devrait-on augmenter le nombre de contrôles ? Leur coût est-il supportable ? Peut-on envisager de contrôler davantage de sportifs ? Car le dopage ne semble pas reculer.

Photo de François PilletFrançois Pillet :

On comprend aisément que les sportifs de haut niveau aient accès à leur propre réseau d'approvisionnement en produits dopants. Les plus jeunes, quant à eux, se fournissent vraisemblablement sur Internet où l'on trouve tout et n'importe quoi, y compris des produits frelatés. Quelle méthode de lutte contre ce type de pourvoyeurs peut-on mettre en place ? Est-ce possible dans le seul cadre français ?

Photo de François PilletFrançois Pillet :

On comprend aisément que les sportifs de haut niveau aient accès à leur propre réseau d'approvisionnement en produits dopants. Les plus jeunes, quant à eux, se fournissent vraisemblablement sur Internet où l'on trouve tout et n'importe quoi, y compris des produits frelatés. Quelle méthode de lutte contre ce type de pourvoyeurs peut-on mettre en place ? Est-ce possible dans le seul cadre français ?