Interventions sur "joueur"

8 interventions trouvées.

Photo de Jean-Jacques LozachJean-Jacques Lozach, rapporteur :

Dans une interview de septembre 2010 vous disiez : « Paclet a pris ma succession, et nous avons eu des dossiers communs car nous avons soigné les mêmes joueurs. En 1998, nous avons effectivement constaté des anomalies biologiques, mais comme toujours en fin de saison chez les joueurs de très haut niveau, qui n'ont pas les mêmes aptitudes que M. tout le monde. Nous les avons rectifiées, mais toujours dans le respect de l'éthique, sans jamais avoir recours au dopage » -je vous cite... Qu'entendez-vous par le terme « rectifié » ?

Photo de Jean-Jacques LozachJean-Jacques Lozach, rapporteur :

Dans une interview de septembre 2010 vous disiez : « Paclet a pris ma succession, et nous avons eu des dossiers communs car nous avons soigné les mêmes joueurs. En 1998, nous avons effectivement constaté des anomalies biologiques, mais comme toujours en fin de saison chez les joueurs de très haut niveau, qui n'ont pas les mêmes aptitudes que M. tout le monde. Nous les avons rectifiées, mais toujours dans le respect de l'éthique, sans jamais avoir recours au dopage » -je vous cite... Qu'entendez-vous par le terme « rectifié » ?

Photo de Alain NériAlain Néri :

... contente de faire des contrôles antidopage en compétition, on perd son temps ! C'est la préparation qui permet le dopage. Si on souhaite des contrôles inopinés, c'est effectivement parce que c'est là qu'on peut s'en rendre compte. Je souhaiterais donc connaître votre avis concernant ces contrôles inopinés. Pensez-vous qu'il faille les maintenir ? Vous dites que c'est gênant en fin de match, les joueurs devant répondre aux interviews. Dans les autres disciplines sportives aussi ! Vous l'avez dit vous-même : si on attend, le joueur a le temps de se faire une injection d'eau pour faire tomber son taux d'hématocrite ! On aime tous le football : il faut qu'il puisse se justifier comme les autres ! Quel est donc votre sentiment sur les contrôles inopinés et sur les autorisations d'usage à des fins ...

Photo de Alain NériAlain Néri :

... contente de faire des contrôles antidopage en compétition, on perd son temps ! C'est la préparation qui permet le dopage. Si on souhaite des contrôles inopinés, c'est effectivement parce que c'est là qu'on peut s'en rendre compte. Je souhaiterais donc connaître votre avis concernant ces contrôles inopinés. Pensez-vous qu'il faille les maintenir ? Vous dites que c'est gênant en fin de match, les joueurs devant répondre aux interviews. Dans les autres disciplines sportives aussi ! Vous l'avez dit vous-même : si on attend, le joueur a le temps de se faire une injection d'eau pour faire tomber son taux d'hématocrite ! On aime tous le football : il faut qu'il puisse se justifier comme les autres ! Quel est donc votre sentiment sur les contrôles inopinés et sur les autorisations d'usage à des fins ...

Photo de Stéphane MazarsStéphane Mazars :

Aujourd'hui, dans le football de haut niveau, la répétition des matchs est importante et la dimension physique prend de plus en plus de place. Le rythme des calendriers nationaux et internationaux est-il selon vous encore compatible avec une saine pratique de ce sport ? Par ailleurs, en 1998, pratiquement tous les joueurs jouaient à l'étranger.

Photo de Stéphane MazarsStéphane Mazars :

Aujourd'hui, dans le football de haut niveau, la répétition des matchs est importante et la dimension physique prend de plus en plus de place. Le rythme des calendriers nationaux et internationaux est-il selon vous encore compatible avec une saine pratique de ce sport ? Par ailleurs, en 1998, pratiquement tous les joueurs jouaient à l'étranger.

Photo de Stéphane MazarsStéphane Mazars :

Beaucoup de joueurs se sont transformés à partir du moment où ils sont partis jouer à l'étranger : ils ont pris de la masse musculaire et on le ressentait sur le terrain. Vous avez par ailleurs estimé que certains pays n'ont pas la même approche de la médecine que la France. Quel regard portiez-vous, à cette époque, sur leur préparation et leur suivi médical ? Avez-vous eu des soupçons sur la méthode de préparatio...

Photo de Stéphane MazarsStéphane Mazars :

Beaucoup de joueurs se sont transformés à partir du moment où ils sont partis jouer à l'étranger : ils ont pris de la masse musculaire et on le ressentait sur le terrain. Vous avez par ailleurs estimé que certains pays n'ont pas la même approche de la médecine que la France. Quel regard portiez-vous, à cette époque, sur leur préparation et leur suivi médical ? Avez-vous eu des soupçons sur la méthode de préparatio...