Interventions sur "animateur"

8 interventions trouvées.

Photo de Françoise CartronFrançoise Cartron, rapporteure :

L'éventail de nos auditions depuis décembre était très large. Il nous a permis de recueillir l'avis des organisations syndicales représentatives des enseignants et des animateurs. Nous avons aussi entendu les différentes associations de maires en couvrant les communes grandes, moyennes et petites, sans omettre celles des zones rurales. Les responsables des ministères concernés, ainsi que la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF), par deux fois, sont venus nous expliquer les modalités de mise en oeuvre de la réforme. Nous n'avons oublié ni le comité de suivi de ...

Photo de Françoise CartronFrançoise Cartron, rapporteure :

L'éventail de nos auditions depuis décembre était très large. Il nous a permis de recueillir l'avis des organisations syndicales représentatives des enseignants et des animateurs. Nous avons aussi entendu les différentes associations de maires en couvrant les communes grandes, moyennes et petites, sans omettre celles des zones rurales. Les responsables des ministères concernés, ainsi que la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF), par deux fois, sont venus nous expliquer les modalités de mise en oeuvre de la réforme. Nous n'avons oublié ni le comité de suivi de ...

Photo de Françoise CartronFrançoise Cartron, rapporteure :

...e de la jeunesse et des sports qui se renvoient la responsabilité. Mais le desserrement des contraintes d'encadrement est acquis et même étendu au-delà des trois heures « Peillon » à tout le périscolaire dans le cadre d'un projet éducatif territorial (PEDT) jusqu'au 30 juin 2014. C'est un premier pas qu'il faut confirmer. La réforme demande à l'ensemble des partenaires élus, Éducation nationale, animateurs, CAF, parents d'élèves, de s'apprivoiser, de se concerter et de travailler ensemble. Il était inimaginable qu'ils puissent du premier coup rendre une copie parfaite. Les hésitations, les tensions du début étaient prévisibles et ne mettent pas en danger l'application de la réforme. Les tâtonnements initiaux relevaient d'un processus normal pour la mise en oeuvre d'une politique publique ambitieus...

Photo de Françoise CartronFrançoise Cartron, rapporteure :

...e de la jeunesse et des sports qui se renvoient la responsabilité. Mais le desserrement des contraintes d'encadrement est acquis et même étendu au-delà des trois heures « Peillon » à tout le périscolaire dans le cadre d'un projet éducatif territorial (PEDT) jusqu'au 30 juin 2014. C'est un premier pas qu'il faut confirmer. La réforme demande à l'ensemble des partenaires élus, Éducation nationale, animateurs, CAF, parents d'élèves, de s'apprivoiser, de se concerter et de travailler ensemble. Il était inimaginable qu'ils puissent du premier coup rendre une copie parfaite. Les hésitations, les tensions du début étaient prévisibles et ne mettent pas en danger l'application de la réforme. Les tâtonnements initiaux relevaient d'un processus normal pour la mise en oeuvre d'une politique publique ambitieus...

Photo de Dominique de LeggeDominique de Legge :

...ester à des généralités théoriques ni détourner le regard au nom du bien-fondé de la réforme, conformément à l'intitulé de notre mission qui porte sur la mise en oeuvre et l'application de la réforme. Tout ne va pas bien sur le terrain simplement parce que nous sommes d'accord sur le principe d'une réorganisation des rythmes scolaires. Plusieurs auditions ont pointé des problèmes de recrutement d'animateurs, de disponibilité des locaux, de fractionnement des sorties d'école, de financement, de relations avec les directeurs académiques des services de l'Éducation nationale (DASEN), etc... qui devront, à mon avis, figurer dans le rapport. Nous devons nous concentrer sur des propositions concrètes, opérationnelles dès septembre.

Photo de Dominique de LeggeDominique de Legge :

...ester à des généralités théoriques ni détourner le regard au nom du bien-fondé de la réforme, conformément à l'intitulé de notre mission qui porte sur la mise en oeuvre et l'application de la réforme. Tout ne va pas bien sur le terrain simplement parce que nous sommes d'accord sur le principe d'une réorganisation des rythmes scolaires. Plusieurs auditions ont pointé des problèmes de recrutement d'animateurs, de disponibilité des locaux, de fractionnement des sorties d'école, de financement, de relations avec les directeurs académiques des services de l'Éducation nationale (DASEN), etc... qui devront, à mon avis, figurer dans le rapport. Nous devons nous concentrer sur des propositions concrètes, opérationnelles dès septembre.

Photo de Michel Le ScouarnecMichel Le Scouarnec :

Nous avons besoin d'un rapport objectif et synthétique qui fasse un état des lieux des réussites et des difficultés, en soulignant les solutions à trouver, notamment en milieu rural, notamment pour ceux qui souhaitent plus de souplesse dans l'application de la réforme. La précarité subie par les animateurs me préoccupe beaucoup.

Photo de Michel Le ScouarnecMichel Le Scouarnec :

Nous avons besoin d'un rapport objectif et synthétique qui fasse un état des lieux des réussites et des difficultés, en soulignant les solutions à trouver, notamment en milieu rural, notamment pour ceux qui souhaitent plus de souplesse dans l'application de la réforme. La précarité subie par les animateurs me préoccupe beaucoup.