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...ue les hôpitaux parisiens sont privilégiés par rapport aux autres en ce qui concerne l'attribution des moyens financiers. Qu'en est-il ? Ma deuxième question concerne un sujet d'actualité puisqu'elle porte sur la renégociation des accords sur le temps de travail qui va s'ouvrir au sein de l'AP-HP. Quels en sont les enjeux ? Comment se situe l'AP-HP au regard des problématiques d'attractivité de l'hôpital public par rapport aux autres structures ? Ma quatrième question est relative aux fondations hospitalières, dont la création a été rendue possible par la loi HPST. Vont-elles permettre de mieux gérer les fonds d'origine privée destinés à la recherche ? Enfin, je voudrais savoir dans quelle mesure l'AP-HP est concernée par le processus de restructuration du service de santé des armées.
Ma question porte sur l'articulation entre la médecine de ville et l'hôpital. Le manque de médecins libéraux entraîne un engorgement des urgences. Comment faire pour canaliser cet engorgement et séparer les véritables urgences des cas qui relèvent davantage d'une consultation classique ?
J'ai quatre questions à vous poser. La première concerne le projet d'hôpital Nord que vous avez évoqué, avec la fusion des hôpitaux Bichat et Beaujon, qui pourrait occasionner la suppression de 600 lits. Avez-vous des éléments à nous donner pour connaître plus précisément l'impact de cette fusion ? L'ONG « Sauvons les enfants » a récemment classé la France au 23ème rang en ce qui concerne la santé des mères et des enfants. A ce titre, les regroupements de maternités nous ...
...e dix ans avec l'objectif de désengorger les services d'urgences des hôpitaux. Certaines mairies ne souhaitent plus contribuer au financement qui représente 75 centimes par an et par patient. Cela risque de se traduire par un report sur les passages aux urgences. Je voudrais également vous interroger sur les conséquences des restructurations intervenant au sein du service de santé des armées. À l'hôpital Bégin, la fermeture de la maternité est prévue le 30 juin et le service de dialyse semble également menacé. L'impact social est important compte tenu de différences de statuts des personnels concernés. Avez-vous, par ailleurs, chiffré le coût de la suppression de la journée de carence ?
Je suis préoccupée par l'avenir de l'hôpital Bichat. Je voudrais souligner que la permanence des soins est difficile à mettre en place. La coopération est aussi parfois difficile : je voudrais citer l'exemple, dans mon département, de la clinique de la Roseraie dont la convention, pour le centre de radiothérapie, aurait été refusée par l'hôpital Avicenne.
...oignés. Les permanences d'accès aux soins de santé (Pass) sont en difficulté financière. Il en existe théoriquement 400 en France mais leurs moyens sont souvent affectés à d'autres missions. Je salue vos propos sur la Seine-Saint-Denis, département que nous savons tous, capable d'innovation. Je voudrais vous faire part de mes craintes quant à la suppression du centre hospitalier universitaire à l'hôpital Avicenne. Si tel est le cas, l'hôpital sera confronté à de grandes difficultés de recrutement.