4 interventions trouvées.
...ser la stratégie de finances publiques du Gouvernement », en particulier les orientations pour le prochain budget 2022, que nous devrons examiner à l'automne. S'il doit nous permettre de préparer l'avenir, le rapport préparatoire au DOFP s'avère finalement relativement pauvre en contenu. S'agissant des perspectives de l'économie et des finances publiques, le rapport qui nous a été transmis est l'occasion pour le Gouvernement de confirmer le scénario macroéconomique qu'il avait présenté à l'occasion du programme de stabilité pour les années 2021 à 2027. L'hypothèse d'une croissance du PIB en volume de 5 % en 2021 est ainsi maintenue. Comme je l'ai indiqué lors de l'examen du PLFR, cette hypothèse est raisonnable quoique prudente. En effet, plusieurs éléments permettent de penser qu'elle pourrait...
Une « occasion manquée » ? On le dit, hélas !, tous les ans... On sait très bien que les réformes structurelles ne peuvent être réalisées qu'au cours des deux premières années du quinquennat. Or, on n'en a pas fait en 2017-1019, pour diverses raisons : il y a eu les « gilets jaunes », puis est survenue la pandémie et le « quoi qu'il en coûte ». La dette s'est envolée, mais nul ne s'inquiète. Alors que le minist...
Merci à notre rapporteur général qui a réalisé ce travail délicat de chiffrage à l'occasion de la préparation du DOFP. Quel sera le coût de l'abandon de l'objectif de réduction de 50 000 postes publics ?
Je suis d'accord avec Roger Karoutchi, il y a là une occasion manquée, un exercice obligé et peut être même un goût d'inachevé. Nous sommes tous d'accord sur le constat. Le Gouvernement a essayé de réformer au début, avec le succès que l'on sait : souvenez-vous de la taxe carbone et de la colère sociale qui a suivi, bloquant toute initiative. Puis la crise sanitaire est arrivée. Finalement, peu de réformes ont été réalisées. La réflexion sur les recettes et...