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...lement européen, de la Maison blanche, de la Chambre des communes, de l'Association mondiale des ingénieurs électriciens et électroniciens, de la Commission de réflexion sur l'éthique de la recherche en sciences et technologies du numérique de l'alliance du numérique (CERNA), de l'INRIA, de l'Institut Mines-Télécom, du Club informatique des grandes entreprises françaises (CIGREF), du Syndicat des machines et technologies de production (SYMOP), de l'Association française pour l'intelligence artificielle (AFIA), de l'Association française contre l'intelligence artificielle (AFCIA), etc. Des conférences d'envergure nationale ou internationale ont aussi été organisées sur le sujet par les Nations Unies, l'OCDE, la Fondation pour le futur de la vie, le Medef, l'AFIA entre autres. Enfin, l'initiative «...
...s ce sens que la firme développe l'idée d'un « bouton rouge » permettant la désactivation des intelligences artificielles. La CERNA a aussi cette recommandation. Des recherches complémentaires sont nécessaires car en IA cela peut être compliqué. Pour paraphraser Raymond Aron, qui utilisait l'expression de « Paix impossible, guerre improbable » l'enjeu est donc, face à une paix improbable avec les machines, de rendre la guerre impossible. Les biais sont l'un des plus gros problèmes posés par les algorithmes d'apprentissage automatique, ou pour être plus rigoureux, posés par les données nécessaires aux algorithmes. La question concerne en effet plus les données que les algorithmes eux-mêmes. Les impacts se font ressortir après le traitement, mais les biais, eux, sont introduits en amont dès le sta...
...plus justes possibles. Utile, parce qu'elles doivent, dans le respect des valeurs humanistes, profiter à tous au terme d'un large débat public. Et démystifiée, parce que les difficultés d'acceptabilité sociale de l'intelligence artificielle résultent largement de visions catastrophistes erronées, propagées par des ignorants. Plutôt qu'une hypothétique future confrontation entre les hommes et les machines, qui relève de la science-fiction dystopique, nous croyons au bel avenir de la complémentarité entre l'homme et la machine. C'est, au final, bien plus vers une intelligence humaine augmentée que vers une intelligence artificielle concurrençant l'homme que nous allons.
...s'est diffusée. La pluridisciplinarité, plus que la transdisciplinarité, se développe. L'intelligence artificielle fait intervenir une juxtaposition de sciences, qui se conjuguent, s'hybrident et se renforcent mutuellement, grâce à la puissance de calcul, les données de masse, la reconnaissance d'image de plus en plus rapide. Le robot - d'observation, ou d'accompagnement médical, etc. - est une machine physique qui comprend une intelligence artificielle embarquée.