Interventions sur "professeur"

4 interventions trouvées.

Photo de Laurent LafonLaurent Lafon :

... pour un étudiant de connaître son affectation en juillet ou de l'apprendre en septembre, quand ce n'est pas en octobre ou en novembre. Avez-vous un éclairage à nous apporter sur ce point ? Le « oui-si » est l'une des innovations du projet de loi. Comment vous préparez-vous à la mise en place, dès l'année prochaine, de ces périodes de remise à niveau à l'université ? La nomination d'un deuxième professeur principal dans les classes de terminale dès décembre 2017 se fait-elle sans difficultés ?

Photo de Sylvie RobertSylvie Robert :

Nous identifions les mêmes éléments positifs dans cette réforme et partageons vos réserves concernant le calendrier de sa mise en oeuvre. L'année à venir sera sans doute la plus critique. Les décisions concernant l'orientation doivent-elles relever du conseil de classe ? Ne serait-il pas plus efficient qu'une petite équipe, constituée en particulier du chef d'établissement et des professeurs principaux, prépare la décision, quitte à ce que cette dernière soit ensuite soumise au conseil de classe pour validation ? S'agissant des filières en tension, et plus particulièrement de la question des « attendus », les difficultés à connaître précisément les métiers de demain poseront problème. Envisagez-vous de guider un élève qui ne remplirait pas les attendus au départ ? Il ne faudrait pa...

Photo de Stéphane PiednoirStéphane Piednoir :

Nous sommes au mois de décembre et nous discutons encore des modalités d'affectation des élèves de terminale ! Pour avoir été professeur jusqu'en septembre dernier, je mesure les inquiétudes liées à l'orientation et l'affectation des élèves. S'agissant de la procédure proprement dite, je m'interroge sur la réponse « oui si » qui pourra être donnée au candidat. Quels types de dispositifs de remise à niveau seront-ils proposés ? Par ailleurs, ne faudrait-il pas prévoir un nombre minimal de voeux à formuler sur Parcoursup ? Quant à...

Photo de Vivette LopezVivette Lopez :

N'oubliez pas que les jeunes de province ont souvent plus de difficultés à accéder aux informations sur les métiers du futur que ceux de la capitale. Pourriez-vous nous en dire davantage sur les difficultés que rencontrent les lycées pour trouver des professeurs principaux supplémentaires ? À quelles réticences les proviseurs se heurtent-ils ?