Interventions sur "terminale"

3 interventions trouvées.

Photo de Jacques GrosperrinJacques Grosperrin, rapporteur pour avis du budget de l'enseignement scolaire :

...ossible de rattraper un non-choix de spécialité ou d'option si l'élève se découvre une vocation tardive au cours de l'année scolaire ? De nombreux jeunes, à la fin de l'année de seconde, et même de première, n'ont pas encore une idée très précise de leur orientation. Il semblerait que les élèves des lycées hors contrat ne passeront pas les épreuves communes de contrôle continu de première et de terminale. Comment sera constitué leur dossier pour Parcoursup ? Celui-ci sera-t-il partiellement vide, au risque de pénaliser ces élèves lors du classement des dossiers par les algorithmes relatifs aux attendus des filières universitaires ? Quelle solution pourrait être envisagée ? Il s'agit d'environ 60 000 jeunes par an, soit 8 % des effectifs du bac. Ces questions très concrètes reflètent les inquiétu...

Photo de Stéphane PiednoirStéphane Piednoir :

Je vous remercie pour vos interventions très denses. Certaines de vos analyses pourraient toutefois donner lieu à une appréciation un peu différente. Je prendrai l'exemple de l'introduction de deux professeurs principaux en terminale : nous avons reçu des témoignages qui dressent un bilan un petit peu plus nuancé que ce que vous avez dit. La réforme du baccalauréat vise à permettre la construction de parcours avec des combinaisons originales. L'ambition est tout à fait louable, mais il y a certains dommages collatéraux. J'en évoquerai quelques-uns à travers mes questions. La « charte pour une orientation progressive et ac...

Photo de Max BrissonMax Brisson :

...ette « mathématiques », « numérique et sciences informatiques » et « physique-chimie » sont à 87 % des garçons, quand la spécialité « humanités, littérature et philosophie » attire 25 % des filles et seulement 9 % des garçons. Ne faudrait-il pas inclure les mathématiques au sein du tronc commun, comme le proposent nos collègues députés, et envisager le maintien de trois spécialités en classe de terminale ? Une fois n'est pas coutume, je n'évoquerai pas la question des langues régionales, déjà abordée par ma collègue Maryvonne Blondin.