En quoi les dotations non consommables sont-elles des modes de financement plus efficaces que les autres ? Comment éviter un effet de substitution entre ces dotations et les crédits budgétaires destinés aux universités ?
Les PME et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) ne peuvent pas porter des projets en réponse à des appels, tant les dossiers sont complexes à monter. Ne risque-t-on pas de voir les grandes entreprises bénéficier seules des investissements d'avenir ?