La majorité de nos interventions ne relève pas des aides de l'Etat. Lorsque c'est le cas, nous faisons jouer le régime des exceptions, quand il n'est pas possible de modifier la règlementation existante. Nous avons en tout cas beaucoup d'échanges avec la Commission européenne et nous lui donnons beaucoup de visibilité sur les dossiers que nous lui soumettons, ce qui se révèle très efficace.