Nous ne sommes pas l'opinion publique, ni ne sommes là pour juger le rapport de la Cour des Comptes, mais pour contrôler le bon usage des deniers publics et corriger si besoin. 85 % des dossiers, nous dites-vous, sont régularisés dans les vingt-quatre mois. Quid des 15 % restants ? Vous avez évoqué des pistes de réflexion pour apporter des corrections de fond ; pouvez-vous nous les préciser ?