C'est ennuyeux à double titre : ce taux est trop élevé, et l'agronomie en souffre. Les espèces qui produisent des protéines fixent l'azote et jouent un rôle positif dans l'assolement, c'est pourquoi il est important de poursuivre la recherche sur les légumineuses. Quoique l'économie française utilise peu de protéagineux, nous avons maintenu en France une recherche sensiblement supérieure à celle de nos partenaires européens, et ce, dans un contexte défavorable. Nous avons un projet d'investissement d'avenir à Dijon : Pea-MUST. J'y reviens, notre rôle se limite à la recherche, nous ne sommes pas responsables des mesures déterminantes dans le choix des producteurs.