Je ferai deux observations.
D'abord, monsieur le rapporteur général, vous avez évoqué le débat sur la loi de finances pour 2012 et le retrait de mon amendement, sur la suggestion de Mme Bricq, qui occupait alors votre fonction. À l'époque, elle voulait convoquer le président de la Société du Grand Paris pour obtenir une réponse au problème que j'avais soulevé de savoir s'il y avait réellement de la trésorerie disponible. J'aurais aimé savoir si vous aviez obtenu des informations. C'est pourquoi je suis quelque peu surpris de votre réponse.