Pour le suivi des dispositifs médicaux implantés, les registres restent la meilleure solution. Il faut pousser leur développement au niveau national et surmonter les réticences des chirurgiens, toujours en concurrence les uns avec les autres. La Cnil nous a dit que rien n'empêchait leur création, à condition de ne pas utiliser le numéro de sécurité sociale comme identifiant des patients.