Sur la question de l'information de celles et ceux qui ont recours aux interventions à visée esthétique, je tiens à préciser que le rapport propose la mise en place d'un site d'information sur le sujet. Il faut combler les lacunes actuelles des pouvoirs publics en la matière.
Le rapport envisage également de définir dans la loi la frontière entre les actes médicaux et ceux qui relèvent de l'esthétique non médicale, car c'est là aujourd'hui que la situation est la plus floue. En dehors de cela, peu de nos propositions ont besoin d'une loi pour être appliquées, l'idée d'une résolution me semble donc particulièrement judicieuse.