Notre bilan est à la fois très dense et nettement positif, si j'en juge aux échos assez unanimes que nous en avons eus. Cela étant, si nous avons pu accomplir tout ce travail en seulement six mois, c'est parce que les commissions permanentes n'étaient pas aussi occupées que d'habitude pendant la période électorale. En temps normal, je crains que la charge de travail devienne très lourde, d'autant que pour répondre aux préoccupations d'actualité, nous devrons aussi nous saisir de nouveaux sujets en cours d'année.
Concernant nos méthodes de travail, le système consistant à désigner sur chaque thème deux co-rapporteurs de sensibilité différente me paraît excellent. Il ne faut pas le systématiser, mais j'y suis favorable, car il valorise nos conclusions.