Je fais partie de ceux qui ne peuvent que soutenir vos propos qui s'inscrivent dans la continuité de la campagne présidentielle.
Je m'étais opposé au gouvernement précédent au sujet de la SNPE (Société nationale des poudres et explosifs), dont le site de Bergerac a été vendu « à la découpe ». L'activité de production de poudre à usage essentiellement militaire occupe environ 200 personnes : l'Etat reste l'actionnaire principal et le groupe Eurenco dépend des commandes militaires. Il y aurait une possibilité de diversifier l'activité et de maintenir l'emploi en produisant du NEH, un additif au gazole qui atténue son effet sur l'environnement. Quelle est votre vision de ce dossier sur lequel le maire de Bergerac, Dominique Rousseau, vous a interpelé ?