Monsieur Yung, pour répondre à votre question, quelque 80 % du financement de l'Office proviennent de ces taxes. On voit bien le déséquilibre qui résulterait de leur diminution.
Je me permets d'insister : même si je comprends parfaitement les raisons qui ont été invoquées à l'appui du maintien de certains amendements, et je respecte profondément cette décision, je ne souhaite pas que le Sénat adopte ces propositions.