Je prends acte des propos – sinon des engagements ! – de M. le ministre. Je sais combien il est difficile, en matière de dépendance, de conjuguer la solidarité nationale et la solidarité familiale ; c'est un peu appliquer la double peine aux familles concernées, d'autant que nous avons voté la réduction de 160 000 euros à 100 000 euros de l'abattement applicable aux droits de succession.
Bref, la question est très difficile, je le reconnais. Pour l'heure, je retire les amendements n° 162 rectifié bis et 163 rectifié bis.