a rappelé que les fonctions de certification avaient été confiées à la Cour des comptes en 2001, et que cela n'avait soulevé aucun débat particulier à l'époque. Il a estimé que les diverses fonctions n'étaient pas incompatibles au sein de la Cour des comptes et, qu'au contraire, elles s'enrichissaient mutuellement et favorisaient la qualité des travaux de certification.