a fait part d'une certaine méfiance à l'égard du modèle comptable anglo-saxon et a estimé que certaines irrégularités comptables, au sein d'organismes internationaux, auraient pu être plus aisément constatées si une méthode de traitement comparable à celle de la Cour des comptes avait été mise en oeuvre. Il a déclaré, enfin, que le travail de la Cour des comptes ne pouvait s'entendre sans les principes d'indépendance, de contradiction et de collégialité.