a admis qu'il ne voyait pas d'inconvénient à ce que la Caisse des dépôts et consignations se voie assigner des objectifs précis d'intérêt général, et a souligné que le futur comité d'investissement permettait d'externaliser davantage, de manière collégiale, la définition de tels objectifs. Il a indiqué qu'alors secrétaire général adjoint de la Présidence de la République, il n'avait appris le déroulement de cette opération impliquant la Caisse des dépôts et consignations qu'a posteriori, bien qu'elle relevât sans doute de l'intérêt général. Puis en réponse à M. Jean Arthuis, président, qui évoquait l'hypothèse que d'autres personnes à la présidence de la République aient pu être prévenues, il a estimé que le véritable « pilote » de l'opération était le ministère de l'économie, des finances et de l'industrie.